Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur ; je le répète, réjouissez-vous. Philippiens 4:4
À qui cela n’est-il pas arrivé, une nuit, de ne pas pouvoir trouver le sommeil et d’être tourmenté par des soucis ? Une entrevue le lendemain avec un nouveau patron, l’absence de nouvelles d’un proche qu’on croit en danger, un examen qui constitue une dernière chance, il existe beaucoup d’occasions, dans la vie quotidienne, de se mettre en souci.
Ces soucis ne facilitent pas la solution de nos problèmes. Au contraire, ils nous enlèvent plutôt nos moyens. Alors, comment échapper à notre anxiété ? Comment conserver notre joie dans le Seigneur ?
Eh bien ! nous avons la réponse à ces questions : “Ne vous inquiétez de rien, mais, en toute circonstance, exposez vos requêtes à Dieu par la prière et la supplication avec des actions de grâces” (Philippiens 4.6).
Les causes de nos soucis ne s’évanouiront pas obligatoirement, mais la paix de Dieu dirigera nos cœurs et nos pensées vers le Seigneur et nous remplira de joie.
L’apôtre Paul parle d’expérience : ce qu’il nous conseille, il l’a vécu chaque jour dans son ministère itinérant (2 Corinthiens 11.23-28). Et il est en prison, sans savoir comment cela finira.
Instruit par ses expériences de la bonté de Dieu et par les délivrances reçues, Paul nous fait comprendre que les soucis n’ont plus de prise sur sa joie. Car il a appris, dans l’abondance ou dans les privations, “à être content dans les situations où (il se) trouve” (Philippiens 4.11).
Apprenons, nous aussi, à dire à Dieu nos difficultés diverses, petites ou grandes, tout ce qui pourrait provoquer en nous des soucis destructeurs de joie, et n’oublions pas de rendre grâces !
Pour que notre joie reste entière dans le Seigneur, malgré les circonstances, malgré les autres, malgré les soucis, demeurons dans l’amour du Seigneur, affermissons-nous dans la grâce, la vraie grâce de Dieu.
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Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?