J’espère en l’Eternel, mon âme espère, et j’attends sa promesse. Psaumes 130:5
Le pécheur est vraiment démuni face à son péché. Il ne peut rien faire. Seul Dieu peut absoudre et c’est sur cet acte souverain que l’homme doit compter. Ce n’est pas cependant une attente triste ou désespérée. Le pécheur peut se reposer sur les promesses et les vérités qui lui ont été révélées.
Le psalmiste reconnaît qu’il n’a pas le droit de demander à Dieu d’agir sur la base de ses mérites. Il admet humblement qu’il a péché, et que si Dieu gardait la liste de ses fautes, il serait inévitablement condamné lorsqu’il apparaîtrait devant Dieu pour être jugé (Psaumes 130:3).
« Mon âme », c’est le cœur de la personnalité. On pourrait dire avec autant de force « du fond de mon cœur ». C’est le Seigneur, que mon âme attend, ce sont aussi les bienfaits de Sa grâce et Ses œuvres puissantes.
Nous devons espérer uniquement ce qui est promis dans Sa Parole, un peu comme ceux qui ont hâte d’être à l’aube, étant fort désireux que la lumière du jour paraisse. L’homme pieux désire ardemment les bénédictions divines et les actes opérés par la grâce, en son cœur. Que ceux qui se consacrent au Seigneur se reposent vraiment sur Lui.
La Rédemption est une rédemption pour tous les péchés. Jésus-Christ sauve son peuple de ses péchés ; Il le sauve à la fois de la condamnation et de la puissance du péché. Il s’agit d’une rédemption d’envergure considérable ; il y a, dans la plénitude parfaite du Rédempteur, toute suffisance ; donc, en déduit le croyant, une pleine suffisance pour moi. La rédemption du péché lave toutes les natures de mal qui peuvent exister ; c’est une rédemption immense, au travers de la puissance du sang de Jésus, la seule qui puisse racheter les péchés de Son peuple.
Ceux qui s’attendent à la Miséricorde et à la Grâce de Dieu, seront assurés d’avoir la paix !
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Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?