Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour
« Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres ; car l’amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour. » (1 Jean 4:7-8)
L’Esprit de Dieu est l’Esprit de l’amour. Celui qui ne connaît pas Dieu, descendu chez les Siens, ne peut connaître le salut qu’Il offre en Son Fils Jésus-Christ. Dieu en effet, par Sa nature, est bon et désire accorder le bonheur à Ses enfants.
La bannière de Dieu c’est l’amour. Celui qui est né de Dieu doit aimer parce que le Père est amour, et donc notre amour montre que nous lui appartenons et que nous le connaissons. Celui qui ne connaît pas Dieu n’a pas d’amour pour son prochain.
Tout ce qu’annonce l’Évangile, au sujet du pardon du péché et du salut, conformément à la gloire et à la justice de Dieu, montre que ce Dernier est amour. Les ténèbres, avec tous leurs mystères, sont hélas jointes à beaucoup de choses ici-bas.
Dieu a montré qu’Il est amour, que nous ne pouvons pas manquer le bonheur éternel qu’Il propose, sauf par incrédulité et impénitence, alors qu’une justice impitoyable nous aurait condamnés à une misère désespérée par refus de la loi de notre Créateur. Dieu, dont le manque d’esprit de vengeance a été démontré par le salut qu’Il offre en Son Fils, pouvait très bien créer un autre monde avec des êtres parfaits …
Recherchons-nous comment bénéficier d’un tel univers entier d’Amour, dans ses manifestations les plus merveilleuses ? Cet Amour réside dans la Personne et la croix de Christ. Un lien d’amour réel existe-t-il entre Dieu et les pécheurs ? En fait, nous n’avons pas aimé Dieu en premier, mais c’est Lui qui nous a d’abord aimés. Son amour ne peut être conçu comme infructueux envers nous ; quand il conduit le pécheur au salut, le but final et parfait est atteint.
La foi est parachevée par les œuvres de Dieu. Il est manifeste que Dieu demeure en nous par son Esprit de régénération. Un chrétien qui aime est un chrétien parfait ; qui s’attache à exercer tout son devoir, à la perfection.
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Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?