Le bénéfice de Citi augmente au T2 avec les revenus d’investissement
(Reuters) – Citigroup a fait état vendredi d’une hausse de son bénéfice au deuxième trimestre, porté par une hausse de 60% des revenus d’investissement et des gains dans sa division de services.
La troisième plus grande banque américaine a enregistré un bénéfice de 1,52 dollar (1,40 euro) par action au cours de la période, dépassant les attentes des analystes qui tablaient sur un résultat à 1,39 dollar, selon un consensus LSEG. Les commissions pour les investissements ont bondi de 60% au deuxième trimestre pour atteindre 853 millions de dollars.
« Nos résultats montrent les progrès que nous réalisons dans l’exécution de notre stratégie et les avantages de notre modèle d’entreprise diversifié », a déclaré Jane Fraser, directrice générale de Citi, dans un communiqué. Ces résultats positifs interviennent deux jours après que les autorités de régulation américaines ont infligé à Citi une amende de 136 millions de dollars pour les « progrès insuffisants » dans la résolution des problèmes de gestion des données identifiés en 2020. Le groupe est actuellement en pleine restructuration afin d’améliorer ses soucis de gestion et de réduire ses coûts. Elle distingue désormais les bénéfices de ses cinq secteurs d’activité de manière individuelle et prévoit une réduction de ses effectifs de 20.000 personnes au cours des deux prochaines années. Les dépenses d’exploitation ont diminué de 2% pour atteindre 13,4 milliards de dollars, la banque ayant économisé de l’argent grâce à la réorganisation qui a simplifié sa structure. Mais la baisse des dépenses a été compensée par des amendes pour non-respect des sanctions d’ordonnances de consentement datant de 2020, et par les investissements pour le travail de remédiation.
(Reportage Tatiana Bautzer à New York et Manya Saini à Bangalore; Version française Mathias de Rozario, édité par Augustin Turpin)
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La cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 a suscité de vives réactions parmi les chrétiens qui déplorent la représentation du célèbre tableau de la Cène par des drag-queens.
La communauté chrétienne est surtout scandalisée par la séquence du tableau « Festivités » représentant le célèbre tableau de Léonard de Vinci, la Cène. Ce dernier repas, que le Seigneur Jésus-Christ a pris entouré de ses apôtres avant sa crucifixion, était représenté par la DJ Leslie Barbara Butch placée au centre et dotée d’une auréole, accompagnée d’une dizaine de danseurs queers. Puis, le chanteur Philippe Katerine, presque nu et peint en bleu, s'est allongé sur la grande table.La scène qualifiée par de nombreuses personnes de « christianophobe » ou « blasphématoire », a été interprétée par les spectateurs comme une représentation parodique de la Cène, ce qui a poussé le Vatican à joindre sa voix à celle des chrétiens du monde entier.
"Attristé par certaines scènes de la cérémonie", le Vatican "ne peut que se joindre aux voix qui se sont élevées ces derniers jours pour déplorer l’offense faite à de nombreux chrétiens"», a réagi le Vatican dans un communiqué.
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