Pas d’aide publique au Danemark pour les entreprises enregistrées dans des paradis fiscaux
COPENHAGUE (Reuters) – Le gouvernement danois a décidé d’exclure les entreprises enregistrées dans des paradis fiscaux des dispositifs d’aide mis en oeuvre face à la crise provoquée par la pandémie de coronavirus.
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
Cette décision est une première dans le monde.
Copenhague a adopté ce week-end un nouveau paquet financier de 100 milliards de couronnes (environ 13 milliards d’euros) pour soutenir les entreprises confrontées à une chute de leurs revenus liés aux mesures de confinement.
Au total, les autorités danoises ont débloqué jusqu’à présent 400 milliards de couronnes.
Mais un amendement prévoit que les sociétés immatriculées dans des paradis fiscaux figurant sur la liste établie par l’Union européenne ne seront plus éligibles à des aides publiques.
En outre, les sociétés qui demanderont à bénéficier d’une extension de l’aide publique devront s’engager à ne verser aucun dividende et à n’entreprendre aucun programme de rachats d’actions sur les exercices 2020 et 2021.
« Quand on dépense des milliards de couronnes financés par les contribuables pour sauver des entreprises et des emplois, cet argent doit aller à cet objectif et pas être expédié vers un paradis fiscal à l’autre bout du monde », a expliqué à Reuters le député Rune Lund, spécialiste des questions fiscales de l’Alliance rouge et verte, parti qui a poussé en faveur de cet amendement.
Douze pays figurent actuellement sur la « liste noire » de l’UE, dont le Panama, les Seychelles et les îles Caïman.
(Nikolaj Skydsgaard; version française Henri-Pierre André)
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
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Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?
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