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Pourquoi m’as-tu abandonné?

« Pourquoi m’as-tu abandonné ?  »
Je crie à toi Seigneur mon Dieu
Mais tu t’éloignes sans m’écouter
Je suis tellement malheureux.

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Pourtant tu exauçais nos pères
Qui s’appuyaient sur tes promesses
Ils t’invoquaient dans la prière
Tu les sortais de leurs détresses.

Je suis rejeté, méprisé
Semblable au ver et vermisseau
Je n’ai personne pour m’aider
Je suis entouré de taureaux.

Ce sont des lions rugissant
M’infligeant de lourdes blessures
En me traitant comme un brigand
Mon âme n’est que déchirures.

Ils m’environnent comme des chiens
Mes vêtements sont partagés
Et perçant mes pieds et mes mains
Tous mes os je pourrais compter.

Telle fut la mort du Fils de Dieu
Donnant sa vie pour nous sauver
Sa voix s’élevant vers les cieux
« Pourquoi m’as-tu abandonné ?  »

Lecture : Psaume 22 v 2 :« Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m’as-tu abandonné, et t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? »

Ce Psaume attribué à David fait partie des « Psaumes messianiques ». Il place le lecteur devant les souffrances du Christ d’une façon qui devrait interpeler ceux qui doutent encore. David ne réalisait pas qu’il annonçait la crucifixion du Fils de Dieu, dans des détails précis qui se réaliseront le jour où Jésus mourut sur la croix de Golgotha : « Ils ont percé mes mains et mes pieds…Ils partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique » (v 17-19). Nous retrouvons l’accomplissement de ces paroles dans les évangiles (Matthieu 27 v 35) et (v 46) pour les paroles prononcées par le Christ.
Les animaux cités dans ce Psaume mettent en relief les souffrances et la haine dont fut victime le Fils de Dieu.
Abaissé, méprisé, il est vu comme : « Je suis un ver et non un homme » (v 7). Puis il ressent autour de lui la violence et la brutalité, comme des taureaux furieux. Comme rugissent les lions, ainsi Jésus fut insulté. Il voit près de lui et contre lui « une bande de scélérats », comme des chiens enragés. Même l’image du buffle avec ses cornes déchirantes est présente dans ce Psaume. Toutes ces images avec des animaux ne nous donnent qu’une pâle description de ce que fut réellement la mort ignominieuse du Fils de Dieu, qui accepta ce chemin de douleur par amour pour chacun de nous.

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