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Glycémie : quand parle-t-on de diabète ?

La glycémie est la mesure du taux de glucose dans le sang. Ses variations peuvent induire un diabète avec des conséquences diverses sur le fonctionnement de l’organisme. Le glucose est un sucre constituant le principal carburant des tissus, le seul carburant du fœtus et du cerveau. Ainsi, dans l’organisme humain le glucose a deux origines : une origine exogène à partir des aliments riches en glucides, et une origine endogène à partir de la glycogénolyse et la néoglucogenèse. Les besoins de l’organisme en glucose s’élèvent environ à 300g par jour. Une fois parvenu dans le flux sanguin, le glucose est réparti dans tout l’organisme grâce aux transporteurs membranaires localisés dans divers organes. Il est catalysé par une enzyme appelée la glucokinase  en glucose -phosphatase. Celui-ci est au centre du métabolisme des glucides    pour produire l’énergie nécessaire aux cellules de l’organisme. Ainsi, le métabolisme du glucose se produit à plusieurs niveaux de l’organisme notamment dans le foie, au niveau des tissus adipeux, au niveau des muscles et du cerveau.

Lorsqu’il y a accroissement de la glycémie, l’organisme répond par une sécrétion importante de l’insuline par le pancréas, qui oriente le métabolisme vers le stockage au niveau du foie et des muscles de glycogène qui est un polymère du glucose. On parle alors de glycogénogenèse. Lorsque la glycémie baisse, l’organisme réagit en produisant les hormones telles que le glucagon (foie);  l’adrénaline et la noradrénaline (muscles); les hormones thyroïdiennes (hypophyse; l’hormone de croissance, qui vont fournir le glucose à partir de la dégradation du glycogène on parle a de glycogénolyse ou à partir des substances non glucidiques on parlera de néoglucogenèse.

La glycémie est relativement constante chez un sujet à jeun et cette constante est assurée par un équilibre entre les apports alimentaires, les synthèses endogènes et les besoins réels des cellules. Chez le nouveau –né, les valeurs usuelles sont comprises entre 0,35 – 0,75 g/L contre 0,6 – 1,10 g/L chez l’adulte. Les sujets ayants des glycémies inférieures à 0,6 g/L sont en état d’hypoglycémie qui peut conduire à un coma hypoglycémique avec des lésions encéphaliques irréversibles. Les valeurs de la glycémie supérieures à 1,2g/L s’observent chez les personnes diabétiques qui peuvent sombrer dans un coma hyperglycémique parfois mortel. Après un repas et suivant la teneur en glucide, la glycémie peut augmenter. Toutefois, elle doit être inférieur à 2g/L deux heures après chaque repas.  Les variations de la glycémie entraînent donc selon le cas une hypoglycémie ou une hyperglycémie.

On peut parler de diabète lorsqu’il s’agit d’une hyperglycémie persistante. Le diabète est une maladie endocrinienne caractérisée par une diminution de la sécrétion d’insuline par le pancréas. Selon l’OMS, est considéré comme diabétique toute personne dont la glycémie est supérieure à 1,26g/L de sang à jeun et supérieure à 2g/L deux heures après un repas. On distingue le diabète de type I et le diabète de type II. A ces deux types de diabètes sont associés le diabète gestationnel et le diabète juvénile. Les différents types de diabètes se manifestent principalement par les troubles suivants : polyurie (sécrétion importante d’urine) ; polydipsie (soif excessive) ; polyphagie (besoin excessif de manger). Il est important de contrôler régulièrement sa glycémie pour prévenir les risques de diabète ; de pratiquer des exercices physiques régulièrement et d’avoir une alimentation saine pour aider l’organisme à bien réguler la glycémie. Le glucose sanguin peut être dosé dans le plasma et le sérum par plusieurs méthodes. Pour plus d’informations veuillez contacter votre médecin ou rendez-vous dans une structure hospitalière.

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