Kaïs Saïed se rendra au sultanat d’Oman pour présenter ses condoléances
Le président tunisien, Kaïs Saïed, se rendra dimanche au Sultanat d’Oman pour présenter ses condoléances, en son nom personnel et au nom du peuple tunisien, suite au décès vendredi écoulé du sultan d’Oman, Qabous ben Saïd, a-t-on appris samedi auprès de la Présidence de la République tunisienne.
Dans un communiqué présidentiel, la même source a noté que la Tunisie « pleure le sultan d’Oman, Qabous ben Said, décédé vendredi soir, à l’âge de 79 ans, après une période de règne s’étalant sur un demi-siècle ».
Le Sultanat d’Oman, tout comme les pays arabes et islamiques, ont perdu un sage et un homme d’Etat sincère et fidèle qui a consacré sa vie à servir son pays et à assurer la sécurité, la prospérité et la stabilité de son peuple et a fait de son pays un facteur de stabilité et d’équilibre dans la région, ce qui lui a valu l’appréciation et le respect des frères et amis ».
Le communiqué a ajouté que la Tunisie « se souviendra toujours de l’empreinte du défunt faisant des liens entre la Tunisie et le Sultanat d’Oman une source d’inspiration de ce que devraient être les relations entre les frères, sur la base de la sérénité, du respect mutuel ainsi qu’une coopération sincère et constructive ».
Par ailleurs, le président tunisien, Kaïs Saïed « a exprimé au nouveau sultan d’Oman, Haitham Ben Tarek, au gouvernement et au peuple omanais, les condoléances les plus sincères et les profonds sentiments de sympathie et de compassion », peut-on encore lire dans le communiqué de la Présidence de la République tunisienne.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.