Cameroun:la jeunesse mise davantage sur l’entrepreneuriat
Au Cameroun, le mois de février célèbre la jeunesse. En effet, chaque 11 du mois se tiennent de nombreuses activités à l’occasion de la commémoration de la fête de la jeunesse. Une initiative du gouvernement pour encourager les jeunes à être de bons citoyens, à les sensibiliser sur le vivre ensemble, la paix et leurs apports dans le processus de développement du pays .
Pour contribuer à la matérialisation des objectifs visés par ce mois, nous avons effectué une descente au marché dit Mokolo àYaoundé et nous avons fait la découverte de Valentin, un jeune camerounais âgé de 30 ans, originaire du Nord ouest Cameroun. Ce dernier s’adonne au quotidien, à la fabrication des chapeaux pour le bonheur des femmes à base de laine et de tissus pagne. Des chapeaux luxueux pour la plupart, adaptés à un style glamour et responsable. Les prix selon la qualité, varient entre 3000 et 40.000 Fcfa.
Cependant, si valentin a choisi ce métier, c’est tout simplement parce qu’il apprécie ces chapeaux et éprouve une passion pour cette activité.De son avis, le métier nourrit son homme, il ne se plaint pas. En plus, il n’aimerait pas se plonger dans l’oisiveté, il a décidé d’opter pour l’entrepreneuriat.
C’est depuis quelques années que valentin s’est déporté de sa ville natale pour Yaoundé du fait de la crise anglephone qui sévit dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest cameroun. D’ailleurs, c’est grâce à son activité qu’il subvient aux besoins de sa famille. Notre jeune entrepreneur entend agrandir son entreprise dans les touts prochains jours.
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Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?