Le peuple assoiffé dîne à la table du seigneur
Les fidèles en Jésus Christ se sont réunis le 05 octobre 2024 autour d’un dîner d’adoration organisée par le ministère vent de flammes. La 3e édition de ce rassemblement était l’occasion pour certains de faire la rencontre de Jésus-Christ et pour d’autres un motif de réconciliation avec lui. L’événement organisé au lieu dit malangue dans le 5e arrondissement de la ville de Douala a fait vibrer les habitants de la zone et des quartiers environnants pour la gloire de Dieu.
4 chorales ont pris part au rendez-vous de louange et d’adoration organisé par le ministère vent de flammes. Tour à tour, les chorales Voix des renouvelés, Coeurs de flammes, Shekina et Pentecost choir ont conduit le peuple dans un moment de louange et d’adoration intense autour d’un seul thème : la repentance. Ce point était d’ailleurs la raison d’être de cette événement pour lequel le seigneur souhaite attirer le maximum d’âmes à lui. « Le dîner d’adoration est un concept qui est né d’une vision selon laquelle les enfants de Dieu doivent se rassembler pour louer le seigneur dans l’unité. l’objectif est aussi d’attirer ceux qui ne connaissent pas Jésus, de les amener à lui. Ces objectifs ont été atteints ce soir je bénis le seigneur ».
Malgré les difficultés rencontrées dans la préparation de ce moment, le seigneur s’est glorifié. Entre manque de finances, d’équipements techniques, difficultés à réunir la foule, l’équation a été difficile à résoudre. Satan n’avait qu’un seul objectif, empêcher son succès. « j’étais très agitée avant ce moment, nous avons rencontré plusieurs difficultés dans divers domaines mais le seigneur a disposé des personnes qu’il avait prévu pour nous et nous avons tous vu comment les invités ont tous été bénis…. » mentionne Agnès MOUNDI, responsable du groupe de louange Choeur de flammes.
Baptêmes dans le saint esprit, repentance, guérisons sont quelques signes et prodiges enregistrés à l’occasion. Ceci à la grande satisfaction tant des organisateurs que des participants.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?