Gabriel Attal, plus jeune Premier ministre en France, Rachida Dati devient Ministre de la Culture
À l'heure de l'intelligence artificielle, l'accès à des faits vérifiables est crucial. Soutenez le Journal Chrétien en cliquant ici.PARIS, 12 janvier (Chretiens.com) – Gabriel Attal a été nommé mardi à Matignon en remplacement d’Elisabeth Borne, devenant ainsi le plus jeune Premier ministre de l’histoire de la Ve République.
Démission d’Elisabeth Borne
La Première ministre Elisabeth Borne a présenté lundi sa démission et celle de son gouvernement à Emmanuel Macron, a annoncé l’Elysée dans un communiqué qui ne précise pas le nom de son successeur.
Elisabeth Borne « assure, avec les membres du gouvernement, le traitement des affaires courantes jusqu’à la nomination du nouveau gouvernement », indique la présidence.
Le nom de Gabriel Attal, ministre de l’Education nationale et ancien porte-parole du gouvernement, revenait avec insistance. Gabriel Attal, 34 ans, deviendrait, s’il est nommé par Emmanuel Macron le plus jeune Premier ministre de la République française.
L’adoption de la très controversée loi immigration a fragilisé le gouvernement d’Elisabeth Borne, et le président de la République avait promis fin décembre un « nouveau cap » que le nouveau Premier ministre sera chargé d’incarner à six mois des élections européennes du 9 juin.
« Madame la Première ministre, chère @Elisabeth_Borne, votre travail au service de notre Nation a été chaque jour exemplaire », a écrit Emmanuel Macron sur la plateforme X (anciennement Twitter). « Vous avez mis en oeuvre notre projet avec le courage, l’engagement et la détermination des femmes d’État. De tout coeur, merci. »
Elisabeth Borne, nommée en mai 2022, a été la deuxième femme à occuper ce poste après Édith Cresson.
L’ancienne préfète a permis l’adoption de plusieurs textes délicats, dont la réforme des retraites et celui relatif à l’immigration, qui a secoué le camp présidentiel le mois dernier.
Elle a eu recours à 23 reprises à l’article 49-3 de la Constitution pour faire adopter sans vote les textes budgétaires, notamment.
Dans sa lettre de démission, Elisabeth Borne a jugé « plus que jamais nécessaire de poursuivre les réformes afin de donner sa chance et des perspectives à chacun au sein de la République et de bâtir une France plus forte et plus juste dans une Europe plus souveraine ».
Gabriel Attal, un jeune loup de la « macronie » nommé Premier ministre
Né le 16 mars 1989 à Clamart (Hauts-de-Seine), le 26e Premier ministre de la Ve République bat à 34 ans le record de précocité jusqu’ici détenu par Laurent Fabius, nommé à Matignon en 1984 à l’âge de 37 ans.
Il est aussi le premier chef d’un gouvernement français ouvertement homosexuel.
Gabriel Attal est un des soutiens de la première heure d’Emmanuel Macron dont il a rejoint le mouvement En Marche ! dès 2016, quittant les rangs d’un Parti socialiste qu’il avait rejoint dix ans plus tôt dans les pas de Dominique Strauss-Kahn, occupant notamment le poste de conseiller de l’ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine.
« Cher Gabriel Attal, je sais pouvoir compter sur votre énergie et votre engagement pour mettre en oeuvre le projet de réarmement et de régénération que j’ai annoncé », a commenté Emmanuel Macron sur la plateforme X (anciennement Twitter), après l’annonce de sa nomination par l’Elysée. « Dans la fidélité à l’esprit de 2017 : dépassement et audace. Au service de la Nation et des Français », a-t-il ajouté.
Ce féru de joutes politiques aussi précoce qu’ambitieux est élu député des Hauts-de-Seine en 2017 et se voit rapidement confier un portefeuille ministériel.
En 2018, il devient secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, alors Jean-Michel Blanquer, devenant à 29 ans le plus jeune membre du gouvernement de la Ve République.
En 2020, il est nommé porte-parole du gouvernement avant de devenir en mai 2022, après la réélection d’Emmanuel Macron, ministre délégué chargé des Comptes publics dans le gouvernement d’Elisabeth Borne.
En juillet dernier, dans le cadre d’une légère refonte de l’équipe de la Première ministre, il est promu ministre de l’Education nationale.
A ce poste-clé, il s’est fait remarquer par des positions contre le port de l’abaya et en faveur d’un « choc des savoirs » à l’école. Très présent sur le terrain, il a aussi décidé d’expérimenter l’uniforme dans les établissements scolaires et lancé des réformes, du bac et du brevet notamment.
Des prises de position appréciées des Français. Dans le baromètre politique Ipsos-Le Point de décembre, Gabriel Attal recueille 40% d’opinions favorables, devant l’ex-Premier ministre Édouard Philippe, à 39%.
« Gabriel Attal est clair, il a de l’autorité, c’est le gendre idéal qui sait ce qu’il veut faire, ce n’est pas un gentil », dit de lui le député Renaissance venu de la gauche Patrick Vignal, qui l’a récemment reçu dans sa circonscription de Montpellier (Hérault).
« Il est capable de prononcer des arbitrages, de bâtir des compromis, il sait négocier », ajoute l’élu, qui prédit une relation « fluide » avec Emmanuel Macron.
« Les députés Renaissance seront des alliés loyaux et exigeants pour répondre aux défis de notre pays et continuer à réformer, pour les Français », a écrit dans un communiqué Sylvain Maillard, président du groupe Renaissance au Palais-Bourbon, où le camp Macron est aussi soutenu par le MoDem et le groupe Horizons.
Comme sa prédécesseure, le nouveau Premier ministre aura fort à faire pour négocier des alliances à même de faire voter des textes par un Parlement rétif où les oppositions s’activent, profitant d’un affaiblissement de l’exécutif notamment lié au fait qu’Emmanuel Macron ne pourra pas se présenter à la prochaine élection présidentielle, en 2027.
Dans le baromètre Ipsos-Le Point de décembre, 68% des personnes interrogées ont une opinion défavorable de l’action du chef de l’Etat, qui a promis pour le début de cette année un mystérieux « rendez-vous avec la Nation ».
Premier ministre « de l’audace »
Nommé à Matignon par Emmanuel Macron, Gabriel Attal s’est présenté mardi en Premier ministre « de l’audace » et s’est engagé à mettre « la cause de l’école » au coeur de son projet politique, lors de son discours de passation des pouvoirs avec Elisabeth Borne.
Evoquant le choix d’Emmanuel Macron, plus jeune président de l’histoire de la Ve République, d’en avoir fait de lui le plus jeune Premier ministre, à seulement 34 ans, celui qui n’est resté que cinq mois à la tête du ministère de l’Education nationale a dit n’y voir « qu’un seul symbole, celui de l’audace et du mouvement ».
« J’emmène avec moi ici à Matignon la cause de l’école. Je réaffirme l’école comme étant la mère de nos batailles, celle qui doit être au coeur de nos priorités et à qui je donnerai tous les moyens d’actions nécessaires pour sa réussite », a-t-il dit sur le perron de l’Hôtel de Matignon. « Elle sera ma priorité absolue dans mon action à la tête du gouvernement. »
Gabriel Attal, qui va s’employer dans les prochaines heures ou les prochains jours à former son gouvernement, a remercié Elisabeth Borne pour son « action » et son « courage », notamment celui d’avoir mené des réformes « indispensables » pour l’avenir de la France.
« J’ai conscience du contexte dans lequel je prends mes fonctions. Trop de Français doutent encore, doutent de notre pays, doutent d’eux même, doutent de notre avenir. Je pense en particulier aux classes moyennes », a souligné Gabriel Attal, à cinq mois des élections européennes qui pèseront fortement sur le début de son mandat.
Emmanuel Macron a pris la décision d’écarter Elisabeth Borne, qui a porté au cours de ses 20 mois à Matignon les très controversées réformes des retraites et de l’immigration, pour tenter de redonner du souffle à un deuxième quinquennat marqué par une majorité relative du camp présidentiel au Parlement.
Gabriel Attal est le plus jeune Premier ministre de la Ve République et bat le record jusqu’ici détenu par Laurent Fabius, nommé à Matignon en 1984 à l’âge de 37 ans.
« GARDER LE CONTRÔLE DE NOTRE DESTIN »
Les noms de Sébastien Lecornu, 37 ans, actuel ministre des Armées et de Julien Denormandie, 43 ans, fidèle de la première heure d’Emmanuel Macron, avaient circulé comme potentiels remplaçants d’Elisabeth Borne, deuxième femme à avoir occupé la tête du gouvernement en France.
Mais le chef de l’Etat a préféré opter pour une personnalité politique plus en vue et appréciée des Français selon des sondages, particulièrement depuis sa nomination à l’Education nationale l’été dernier.
« Cher Gabriel Attal, je sais pouvoir compter sur votre énergie et votre engagement pour mettre en oeuvre le projet de réarmement et de régénération que j’ai annoncé », a commenté Emmanuel Macron sur la plateforme X (anciennement Twitter). « Dans la fidélité à l’esprit de 2017 : dépassement et audace. Au service de la Nation et des Français. »
Gabriel Attal s’est inscrit dans cette ligne lors de son discours de passation des pouvoirs : « Avec le président de la République, j’aurai donc un objectif : garder le contrôle de notre destin et libérer le potentiel français », a-t-il dit.
« Garder le contrôle de notre destin, c’est lutter pour la maîtrise de notre modèle social, c’est agir pour la solidarité entre les Français, c’est assumer de faire de l’autorité et du respect de l’autre une valeur politique de premier ordre, et de la sécurité un objectif absolument prioritaire », a poursuivi le nouveau Premier ministre.
Bruno Retailleau, chef de file des sénateurs Les Républicains, dont l’appui est souvent indispensable pour l’agenda législatif du camp présidentiel, a dit sur la plateforme X qu’il jugerait Gabriel Attal sur les actes.
« Il sera un bon Premier ministre s’il parvient à mener une bonne politique pour la France : une politique de redressement des comptes publics, de retour de l’autorité et de reconstruction de nos services publics effondrés. Mais il faudrait pour cela une rupture profonde avec le macronisme. Gabriel Attal en a-t-il le profil et la volonté ? Réponse dans les mois à venir. »
LES EXTRÊMES NE VOIENT AUCUN CHANGEMENT
Beaucoup plus critique, Jean-Luc Mélenchon, l’ancien chef de file de la France insoumise (LFI, extrême gauche), a estimé également sur X que le nouveau Premier ministre « retrouve son poste de porte-parole (du gouvernement, poste qu’il a occupé de juillet 2020 à mai 2022, NDLR). La fonction de Premier ministre disparaît. Le monarque présidentiel gouverne seul avec sa cour. »
A l’autre extrémité de l’échiquier politique, le Rassemblement National a dénoncé une absence de « changement de cap » de la part du chef de l’Etat. « Que peuvent espérer les Français de ce 4e Premier ministre et de ce 5e gouvernement en sept ans ? Rien. Lassés de ce ballet puéril des ambitions et des egos, ils attendent un projet qui les remette au coeur des priorités publiques », a réagi Marine Le Pen sur X.
A la tête du gouvernement, Gabriel Attal restera confronté à l’équation difficile d’une volonté élyséenne de réformer sans soutien garanti au Palais-Bourbon où celui qui a été élu deux fois député devra démontrer ses talents de négociateur.
« Aux oppositions, je leur dis que nous avons en commun le destin de notre nation, que nous serons évidemment pas d’accord sur tout, que nous nous opposerons, mais aussi je leur fais la promesse de toujours les écouter, toujours les respecter », a dit mardi Gabriel Attal, ajoutant qu’il réunirait dès cette semaine toutes les « forces vives » du pays pour « enclencher ensemble cette nouvelle étape ».
Le patron du Trésor nommé directeur de cabinet du Premier ministre Attal
Emmanuel Moulin, un proche du secrétaire général de l’Elysée Alexis Kohler et du ministre de l’Economie Bruno Le Maire, a été nommé directeur de cabinet du nouveau Premier ministre français Gabriel Attal, a-t-on appris mercredi auprès de Matignon.
Homme d’expérience âgé de 55 ans, Emmanuel Moulin a été directeur de cabinet de Bruno Le Maire, au moment de la crise du Covid notamment, avant d’être nommé au poste très stratégique de directeur du Trésor.
« Emmanuel Moulin dispose d’une parfaite connaissance du fonctionnement de l’Etat, que le Premier ministre a pu constater lorsqu’il a travaillé avec lui comme ministre des Comptes publics », indique Matignon dans un communiqué.
« Le Premier ministre a alors pu apprécier ses très grandes qualités professionnelles qui l’ont conduit à le nommer directeur de cabinet du Premier ministre, à compter d’aujourd’hui », ajoute-t-on.
Un bon connaisseur des arcanes du pouvoir interrogé par Reuters a approuvé ce choix. « Avec lui, ça va tourner », a-t-il dit.
Diplômé de l’IEP de Paris, de l’ESSEC et de l’ENA, Emmanuel Moulin a été conseiller économique du président Nicolas Sarkozy entre 2009 et 2012 avant de travailler dans le privé comme directeur général délégué du groupe Eurotunnel (devenu Getlink) et directeur général France et Benelux de la banque italienne Mediobanca.
Son arrivée à Matignon intervient alors que Gabriel Attal travaille à la formation de son gouvernement, au lendemain de la passation de pouvoirs avec Elisabeth Borne, restée 20 mois en poste.
Peu d’informations ont pour l’heure fuité de la composition de la nouvelle équipe même si le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a laissé entendre devant la presse qu’il souhaitait conserver son portefeuille à quelques mois des Jeux Olympiques de l’été à Paris, qui revêtent un fort enjeu sécuritaire.
Le maintien de Bruno Le Maire au poste de ministre de l’Economie et des Finances, qu’il occupe depuis 2017, constitue aussi une inconnue.
Le président du Sénat Gérard Larcher a indiqué mercredi sur TF1 que Gabriel Attal avait évoqué avec lui « la fin de semaine » pour l’annonce du nouveau gouvernement.
Un gouvernement remanié à la marge, entrée des sarkozystes Dati et Vautrin
L’Elysée a dévoilé jeudi la liste des ministres clés du gouvernement du nouveau Premier ministre Gabriel Attal, marquée par le maintien des piliers de l’exécutif sortant et une droitisation des effectifs, avec l’entrée des sarkozystes Rachida Dati (Culture) et Catherine Vautrin (Travail et Santé).
Rachida Dati, ancienne ministre de la Justice de Nicolas Sarkozy et maire (Les Républicains) du 7e arrondissement de Paris, réputée pour son franc parler et un fort tempérament, et Catherine Vautrin, ancienne ministre de Jacques Chirac pressentie pour remplacer Jean Castex à Matignon en 2022, renforcent les rangs des transfuges de droite de la Macronie, dont le cap conservateur se confirme.
Bruno Le Maire demeure ainsi à l’Economie et aux Finances – poste qu’il occupe depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017 – et récupère aussi le portefeuille de la Transition énergétique, au détriment d’Agnès Pannier-Runacher. Gérald Darmanin reste à l’Intérieur et Sébastien Lecornu à la tête du ministère des Armées. Par ailleurs, l’ancien avocat Eric Dupond-Moretti conserve le portefeuille de la Justice.
Rachida Dati succède au ministère de la Culture à Rima Abdul Malak, située sur l’aile gauche et dont les prises de position, contre Gérard Depardieu notamment, ont irrité le chef de l’Etat, de même que ses réserves à l’égard de la loi immigration. Dans la foulée de l’annonce de l’Elysée, Eric Ciotti a dit exclure Rachida Dati du parti Les Républicains.
Sylvie Retailleau, issue de la gauche, conserve le portefeuille de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Le centriste Marc Fesneau est maintenu à l’Agriculture. Christophe Béchu reste au ministère de la Transition écologique et de la cohésion des territoires.
Catherine Vautrin, qui fut ministre de la Cohésion sociale sous Jacques Chirac, hérite du ministère du Travail, où elle prend la succession d’Olivier Dussopt fragilisé par les remous liés à la réforme des retraites, ainsi que du ministère de la Santé, en remplacement d’Agnès Firmin-Le Bodo, visée par une enquête judiciaire pour avoir reçu des cadeaux illicites lorsqu’elle était pharmacienne.
DES MACRONISTES PRENNENT DU GALON
Au Quai d’Orsay, Catherine Colonna est remplacée par Stéphane Séjourné, secrétaire général de Renaissance et ancien conseiller d’Emmanuel Macron à Bercy puis à l’Elysée. Celui-ci a été préféré à Amélie de Montchalin, autre macroniste de la première heure, qui était pressentie pour revenir au gouvernement après l’avoir quitté à la suite de sa défaite aux élections législatives de 2022.
Figure montante de la Macronie, Amélie Oudéa-Castera, chargée jusqu’à présent des Sports, obtient un ministère élargi à l’Education nationale.
Gabriel Attal, qui a dirigé le ministère de l’Education nationale pendant six mois, a toutefois précisé mardi, lors de la passation de pouvoirs à Matignon, vouloir « emmener » avec lui la cause de l’école et en faire la « priorité absolue » de son action.
Jusqu’alors secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national universel, Prisca Thévenot est promue. Cette élue Renaissance réputée proche de Gabriel Attal devient la nouvelle porte-parole du gouvernement, remplaçant Olivier Véran dont le futur rôle n’est pas encore décidé, selon son entourage.
L’ensemble des postes de ministres délégués et secrétaires d’Etat seront annoncés ultérieurement.
Un conseil des ministres est programmé vendredi à 11h00.
L’équipe dirigée par le plus jeune Premier ministre de la Ve République, mais qui ne frappe pas par son renouvellement, sera chargée de mettre en oeuvre le « nouveau cap » et le nouveau souffle qu’Emmanuel Macron entend donner à son deuxième quinquennat, après une année 2023 bousculée par la réforme contestée des retraites et la loi controversée sur l’immigration.
« Je veux de l’action, de l’action, de l’action, des résultats, des résultats, des résultats (…) », a déclaré Gabriel Attal lors d’un entretien au Journal de 20h00 sur TF1, promettant un « certain nombre » d’annonces gouvernementales « dans les prochains jours ».
En nommant Gabriel Attal à Matignon, Emmanuel Macron a dégainé ce qu’il espère être une carte maîtresse pour « régénérer » son mandat et contrer le Rassemblement national, haut placé dans les sondages à cinq mois des élections européennes. La « droitisation » du nouveau gouvernement paraît répondre à cet objectif.
Dans l’entourage du chef de l’Etat, on met en avant un « élargissement de la majorité », avec les arrivées de Catherine Vautrin et de Rachida Dati, et d’une « équipe resserrée (…) pour agir plus vite et plus fort ».
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