Du premier au dernier chapitre, la Bible nous raconte une histoire d’amour entre Dieu et l’humanité. Déjà, dans le silence ou en plein tumulte, seule ou au milieu d’une marée humaine, notre Père céleste nous garanti un amour inconditionnel. Mais, qu’est-ce que l’amour selon Dieu? Comment reconnaître l’amour en action lorsque nous lisons les Écritures ou lorsque nous le rencontrons sur le chemin de la vie?
L’amour, c’est peut-être cette voix qui appelait dans le jardin d’Éden alors que Adam et Ève avaient délibérément décidé de se tourner contre Dieu. L’amour, c’est peut-être aussi cette marque de protection que Dieu place sur Caïn afin que personne ne le tue tandis qu’il n’était réduit qu’à un fugitif après le meurtre de son frère Abel. L’amour, serait-ce plutôt lorsque Sem et Japhet, malgré le comportement débauché de leur père, jugent bon de s’approcher de lui à reculons afin de le couvrir par un drap pour que personne ne voit sa nudité?
L’amour, c’est peut-être encore lorsque Jésus se place en bouclier humain entre cette misérable femme accusée d’adultère et ses bourreaux qui ne respirent que punition et châtiment. L’amour, c’est peut-être entre-autre ce berger qui laisse ses quatre-vingt-dix-neuf brebis en sûreté, affrontant vents et marais à la recherche d’une seule brebis égarée. C’est peut-être également la tendresse déployée par ce samaritain à panser chaque plaie de cet inconnu abandonné à moitié mort sur un chemin inculte.
L’amour, c’est possiblement lorsque Jésus, ressuscité, revient chercher Pierre alors que celui-ci, rongé par le remord et par la culpabilité, se trouvait nu dans sa barque. L’amour, c’est également lorsque Paul, au lieu de sauver sa peau, dit à son geôlier : « Ne te fais pas de mal, nous sommes tous là. » L’amour serait éventuellement l’image de ce père, les bras grands ouverts, qui attend jours et nuits le retour du fils prodigue. C’est peut-être en outre lorsque Dieu dit : « J’ai tendu mes mains tout le jour à un peuple rebelle et contredisant. »
Sinon, dans notre quotidien, l’amour pourrait être aussi simple que donner un verre d’eau à quelqu’un; visiter les malades, visiter les prisonniers; avoir égard au plus faible que soi; être juste et équitable dans ses jugements; ne pas juger une personne sur base de son apparence; pardonner une personne qui selon nous ne mériterait aucune miséricorde; aider un collègue de travail, rendre service sans rien attendre en retour; ou tout simplement se promener main dans la main avec l’être aimé.
L’amour peut revêtir plusieurs formes et se prêter à diverses circonstances. Par ailleurs, la Bible nous dit que Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse point mais qu’il ait la vie éternelle. Ainsi, l’Amour peut prendre plusieurs formes et peut se voiler de différents traits, mais il ne se révèle que sous un seul visage : le visage de Jésus-Christ crucifié! Oui, Jésus nous a aimé à ce point-là!
« Or le plus grand amour, c’est de donner sa vie pour ses amis » Jean 15,13
Faites un don au Journal Chrétien pour nous permettre de produire plus de vidéos comme celle-ci.
Faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence...
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.
Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
Conscients du fait que le financement affecte l’indépendance des médias bénéficiaires et des journalistes qui y travaillent, nous ne recevons aucune aide de l’Etat et n’appartenons pas à un grand groupe industriel ou publicitaire. De ce fait, les sujets que nous traitons et la manière dont nous le faisons est exempt d’intérêts particuliers, les analyses que nous publions sont réalisées sans crainte d'éventuelles pressions de ceux qui ont le pouvoir.
Si vous aimez le journalisme de qualité qui est l’acte d’informer, c’est-à-dire de collecter, sélectionner et vérifier l’information avant de la diffuser, soutenez notre mission en rejoignant l'équipe ou en faisant un don ci-dessous. N'hésitez pas à nous contacter sur [email protected]
Thérèse Kanyange, sous le pseudonyme de Teresa Kany, est une jeune femme originaire du Burundi, pays où elle est née et a passé la majeure partie de son enfance. Très jeune, elle se voit séparée de ses parents suite aux crises politiques de la région, et est élevée par sa tante et sa grand-mère, femmes qui l'ont accompagnée dans ses premiers balbutiements de la foi, via l’église Catholique. À l'âge de dix-sept ans, elle donne sa vie à Christ, et par la grâce de Dieu, n’a plus jamais quitté le chemin de la foi. Dès lors, son rêve est de propager la bonne nouvelle de Jésus-Christ aussi loin que le Seigneur le lui permettra. Aujourd’hui, elle vit à Montréal, ville qu’elle affectionne particulièrement pour sa diversité culturelle. Teresa est une passionnée d’écriture, de musique, de danse, de poésie, de décoration intérieure, de la nature, bref, une passionnée de ce précieux cadeau qu’est la vie. Sa joie serait de voir chaque personne découvrir la raison pour laquelle Dieu l’a créée et de voir le talent de chacun être mis à contribution pour l’avancement du royaume de Dieu. « Nous ne sommes pas tous appelés à œuvrer dans les cinq ministères, dit-elle, mais nous sommes tous appelés à faire avancer le royaume de Christ.»
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OKNonPolitique de confidentialité