Rechercher sur le site

Entrez les mots-clés dans la boîte ci-dessous :

Vous aimez nous lire?

Soutenez-nous !

Inscription à la newsletter

Ma vie s’épanouit à la lumière! Job 33,28

Dieu a délivré mon âme pour qu’elle n’entrât pas dans la fosse, Et ma vie s’épanouit à la lumière! Job 33,28 Extrait des Commentaires concis Matthew Henry.

Job se plaignait, dans les chapitres précédents, de ses afflictions corporelles et estimait de ce fait, que tout cela était le résultat du Jugement divin ; c’était aussi l’avis de ses amis. Élihu rétorque que Dieu éprouve fréquemment le corps, en vue de fortifier l’âme. Cette pensée devrait nous aider considérablement à tirer de tels bénéfices, lors d’une maladie, car c’est une des façons dont Dieu se sert pour avertir les hommes. La douleur est parfois le fruit du péché ; quelquefois, par la grâce de Dieu, cette douleur peut être un moyen destiné à fortifier notre âme.

Quand les afflictions ont rempli leur rôle d’avertissement, elles peuvent alors cesser. La rançon d’une propitiation est, pour ainsi dire, payée. Jésus-Christ est à la fois le Messager et la Rançon ; Élihu, dans ce passage, fait un parallèle avec le Sacrifice de notre Seigneur. Job, quant à lui, l’appelle son Rédempteur ; Il est en même temps le Rédempteur et l’Objet de cette rédemption, le Sacrificateur et le Sacrifice. Nos âmes sont inestimables, aucun autre sacrifice ne pourrait les racheter ; le mal engendré par notre péché est si grand, que rien ne peut nous racheter, sinon le sang du Fils de Dieu, Celui qui a donné sa vie en rançon.

Ce passage se termine par une bénédiction. La délivrance d’une maladie est une réelle grâce quand en plus, elle est accompagnée de la rémission du péché. Tous ceux qui se repentent sincèrement de leurs péchés, obtiendront la miséricorde divine. Les œuvres obscures ne peuvent être qu’infructueuses. Tous les gains obtenus dans un contexte d’iniquité seront en fait réduits à néant. Nous devons avec un cœur contrit et brisé, confesser nos péchés à Dieu, 1 Jean 1.9.

Nous devons confesser la nature de notre péché, sans chercher à nous justifier ni à chercher des excuses. Nous devons confesser nos fautes : « j’ai transgressé la loi ». Nous devons confesser la folie de notre péché : « quelle folie j’ai commise, que d’ignorance » ! Qu’est-ce qui peut nous empêcher de faire une telle confession ?

Extrait des Commentaires concis de Matthew Henry

N’hésitez pas à télécharger l’application gratuite Bible.audio dans votre téléphone

Faites un don au Journal Chrétien avant le 31 décembre et bénéficiez de 66% de déduction fiscale

Les commentaires sont fermés.