Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés. Jean 1:12
À l'heure de l'intelligence artificielle, l'accès à des faits vérifiables est crucial. Soutenez le Journal Chrétien en cliquant ici.Si nous marchons dans la lumière, comme lui-même [Dieu] est dans la lumière, nous avons communion les uns avec les autres, et le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché. 1 Jean 1. 7
À tous ceux qui l’ont reçu, il [Jésus] leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom. Jean 1. 12
Une relation vécue : la communion
Nous lisons dans un journal : Il retrouve ses parents biologiques 43 ans plus tard. – Grâce aux techniques d’analyses ADN, après tant d’années de séparation, parents et enfant tombent dans les bras l’un de l’autre. Et s’ils regrettent d’avoir perdu toutes ces années, ils sont heureux de pouvoir vivre cette relation qui les unit.
Ce fait divers pourrait illustrer la distinction qu’il y a entre la relation de position et une relation vécue. Cet homme savait qu’il avait des parents, mais jusqu’à ce qu’il les trouve, il ne pouvait pas profiter de cette relation et la vivre pleinement. Dans le deuxième verset du jour, nous avons cette affirmation : si nous croyons en Jésus Christ comme notre Sauveur personnel, nous devenons automatiquement enfants de Dieu, la relation Père-enfant est créée. Être dans cette position devant Dieu est un fait, mais vivre et apprécier cette relation en est un autre – on appelle alors cela la communion.
Le premier verset du jour indique une chose essentielle : la communion est uniquement la part de ceux qui marchent dans la lumière. Les relations spirituelles avec notre Père, et nos frères et sœurs, ne sont pleinement vécues que dans la lumière. Par exemple, on ne peut pas dire être en communion avec notre frère si nous le détestons (1 Jean 2. 9, 10). Marcher dans la lumière, c’est choisir un sentier de droiture (Proverbes 2. 13) ; c’est dire non à la dissimulation, c’est reconnaître ses torts, c’est s’attacher à suivre Jésus – lui, la “lumière du monde” (Jean 8. 12). Une communion interrompue ne devrait l’être que temporairement, car la ressource pour la rétablir est là : le sang de Jésus Christ, qui nous purifie de tout péché (1 Jean 1. 7). Si nous ne vivons plus la communion avec Dieu, ou avec nos frères et sœurs, nous devons revenir à la croix, là où le Fils de Dieu a versé son sang pour nous. Là, nous sommes amenés à mettre de côté notre orgueil, nos revendications, et confesser nos péchés pour obtenir un plein pardon (v. 9), et vivre une relation joyeuse et profonde, dans la lumière.
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