Seigneur, que puis-je espérer ? En toi est mon espérance. Psaumes 39:7-8
Maintenant, Seigneur, que puis-je espérer ? En toi est mon espérance. Psaumes 39:7-8.
Le Seigneur… est patient envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais que tous viennent à la repentance. 2 Pierre 3. 9.
Qu’est-ce que j’attends ?
Dans ce couloir d’hôpital, des accidentés anxieux attendent d’être pris en charge. De temps à autre, une voix s’adresse aux soignants débordés : “Dites, vous ne m’oubliez pas ?”… Devant ce porche d’église, une jeune maman, son bébé serré dans ses bras, attend la pièce de monnaie… Devant leur écran, des jeunes angoissés attendent leur affectation dans une école, une offre d’embauche…
La vie est jalonnée d’attentes. Attentes fébriles, impatientes, anxieuses, déçues… Qui va s’intéresser à mon problème ? Et puis, on attend souvent un avenir meilleur, la paix, quand la guerre sévit depuis des mois ou des années. Ce sont des attentes pour la vie présente. Et l’attente de la vie future est souvent liée à une angoisse récurrente, à la pensée de la mort, si l’on n’a pas de certitudes pour l’au-delà !
Dieu peut répondre à toutes ces attentes. Il s’intéresse vraiment à chacune de ses créatures, il nous aime. Il l’a prouvé en envoyant son Fils Jésus Christ dans ce monde, pour mourir sur la croix, nous délivrer de nos angoisses, de nos fautes. Il donne alors la vie éternelle à celui qui accepte de recevoir ce message de sa grâce. Il répond immédiatement. Il ne fait pas attendre. Dieu est patient, il ne force personne : “Je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui”, dit le Christ (Apocalypse 3. 20). N’attends pas des lendemains incertains, ouvre-lui ton cœur aujourd’hui ! Tu pourras lui dire : “Mon attente est en toi”.
Source: Calendrier La Bonne Semence – Bibles et Publications Chrétiennes – Achetez un exemplaire de la Bonne Semence en cliquant ici.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?