Jésus-Christ de Nazareth… Il n’y a de salut en aucun autre. Actes 4:10, 12
Jésus Christ… il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a pas non plus d’autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés. Actes 4. 10, 12
[Nous avons] une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sang de Jésus. Hébreux 10. 19
Pass salutaire
Nous avons peut-être été confrontés à l’interdiction d’entrer dans un lieu public parce que nous n’étions pas en mesure de présenter notre “pass sanitaire”. Quelle déception ! Que ce soit par oubli ou volontairement, ne pas avoir de pass m’interdisait de franchir la porte.
Faisons un parallèle avec un sujet très sérieux : il n’est pas possible d’entrer dans la présence de Dieu sans la foi en Jésus Christ. La Bible dit que c’est en lui seul que se trouve ce droit d’entrée. “À tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom” (Jean 1. 12). Jésus seul nous lave de nos péchés qui nous interdisent l’accès à Dieu. Par le sacrifice de son Fils à la croix, Dieu accorde son pardon et ouvre le chemin vers lui. La démarche à suivre est claire : je crois en Jésus, mort et ressuscité pour moi, et je possède ce “pass” si précieux ; par contre, si je néglige ce moyen, je n’en ai pas…
Peut-être trouvez-vous cette affirmation trop tranchée… sauf que ce “pass”, cette lettre de grâce, attribuée à tous ceux qui l’acceptent, a nécessité les souffrances expiatoires du Fils de Dieu et sa mort. Marques d’un amour infini de la part de Dieu et de son Fils.
Lisez la Bible, en demandant à Dieu qu’il vous éclaire. Son message de grâce est pour moi, comme pour vous. Vous y trouverez ce texte de l’apôtre Jean : “Tout cela, je vous l’ai écrit afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu” (1 Jean 5. 13).
Source: Calendrier La Bonne Semence – Bibles et Publications Chrétiennes – Achetez un exemplaire de la Bonne Semence en cliquant ici.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?