En communication, un bruit est une interférence empêchant le destinataire de recevoir correctement le message transmis par l’émetteur. Quels sont les bruits autour de nous? Devons-nous apprendre ou réapprendre à faire silence pour mieux écouter et pour mieux entendre?
En guise d’illustration, nous lisons dans le verset 41 de 1 Rois 18,41-46, Élie qui dit à Achab : « …car il y a un son d’une abondante pluie… ».
En effet, ce n’était pas le son du tonnerre, ni celui du vent qu’Élie entendait, car si ça avait été le cas, Achab l’aurait entendu également. Je pense donc que c’était un son, une intonation amorcée dans le spirituel, que seul Élie qui était en position d’écoute, pouvait entendre.
Certes, Dieu veut nous parler, il veut nous communiquer une direction particulière par rapport à notre vie, mais il y a trop de bruits autour de nous qui font que le message nous parvienne déjà tronqué. Par exemple, ces bruits peuvent être des engagements aussi légitimes que les défis professionnelles, les préoccupations familiales, les finances, la charge ministérielle, les travaux académiques ou des activités banales telles que les sorties entre amis, les réseaux sociaux, et j’en passe.
Cela étant, depuis un certain temps, j’ai entrepris de prendre une journée dans la semaine où je me mets en mode silence, je me mets à part, à l’abri du brouhaha et du train-train quotidien, et j’écoute. Je suis consciente que les responsabilités n’étant pas les mêmes pour tout le monde, pour certains, ce serait ne fut ce que prendre un temps le soir alors que les enfants sont couchés, pour d’autres ce serait de temps en temps le matin avant que la famille ne se lève ou pour d’autres des moments de « silence-écoute méditative » dans la journée ou dans la semaine. Mais chose certaine, ce temps de communion personnelle, seule avec Dieu, est salutaire. Il est bénéfique pour l’esprit, pour l’âme, et peut-être même pour le corps.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.
Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?
Vous pouvez soutenir notre action :
- en faisant un don ponctuel ou régulier.
- en rejoignant notre équipe comme analyste, expert, professionnel de l'audiovisuel, défenseur des droits de l'homme, journaliste, théologien, etc.
- en priant pour nous.
- en nous contactant par email à l'adresse [email protected] ou par téléphone au par téléphone au +33 769138397
Thérèse Kanyange, sous le pseudonyme de Teresa Kany, est une jeune femme originaire du Burundi, pays où elle est née et a passé la majeure partie de son enfance. Très jeune, elle se voit séparée de ses parents suite aux crises politiques de la région, et est élevée par sa tante et sa grand-mère, femmes qui l'ont accompagnée dans ses premiers balbutiements de la foi, via l’église Catholique. À l'âge de dix-sept ans, elle donne sa vie à Christ, et par la grâce de Dieu, n’a plus jamais quitté le chemin de la foi. Dès lors, son rêve est de propager la bonne nouvelle de Jésus-Christ aussi loin que le Seigneur le lui permettra. Aujourd’hui, elle vit à Montréal, ville qu’elle affectionne particulièrement pour sa diversité culturelle. Teresa est une passionnée d’écriture, de musique, de danse, de poésie, de décoration intérieure, de la nature, bref, une passionnée de ce précieux cadeau qu’est la vie. Sa joie serait de voir chaque personne découvrir la raison pour laquelle Dieu l’a créée et de voir le talent de chacun être mis à contribution pour l’avancement du royaume de Dieu. « Nous ne sommes pas tous appelés à œuvrer dans les cinq ministères, dit-elle, mais nous sommes tous appelés à faire avancer le royaume de Christ.»
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OKNonPolitique de confidentialité