Pologne: Le bilan de l’accident de la mine de Borynia-Zofiowka s’alourdit à six morts
VARSOVIE (Reuters) – Le bilan de l’accident de la mine de Borynia-Zofiowka, le deuxième en Pologne en l’espace d’une semaine, s’est alourdi à six morts, a déclaré lundi le Premier ministre Mateusz Morawiecki, qui a promis une enquête sur les normes de sécurité dans le secteur.
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
Une secousse est survenue dans la mine de Borynia-Zofiowka, dans le sud du pays, samedi matin, quelques jours seulement après que des explosions de méthane ont tué cinq personnes dans la mine de charbon voisine de Pniowek. Les deux sites appartiennent à la société minière d’État JSW.
« Nous savons aujourd’hui que deux autres mineurs victimes de la catastrophe de Zofiowka sont décédés, ce qui fait maintenant six mineurs de Zofiowka », a déclaré Mateusz Morawiecki lors d’une conférence de presse.
Le Premier ministre a indiqué qu’il avait ordonné une enquête sur les pratiques de travail dans les mines.
« Cela montrera également si tout cela n’est qu’une coïncidence de cas et de circonstances malheureux, ou s’il y a eu une quelconque négligence, et il faudra alors en tirer les conséquences », a-t-il déclaré.
Des opérations de sauvetage sont en cours dans les deux mines, a déclaré JSW.
À Pniowek, les sauveteurs travaillent à la construction de deux barrages antidéflagrants, qui isoleront temporairement la zone menacée du reste de la mine.
(Reportage Alan Charlish et Pawel Florkiewicz, version française Augustin Turpin, édité par Sophie Louet)
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
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