Wall Street attendue en baisse avant la Fed, l’Europe hésite à mi-séance
par Augustin Turpin
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
(Reuters) – Wall Street est attendue en baisse mardi et les Bourses européennes évoluent en ordre dispersé à mi-séance, un recul des valeurs technologiques et des services financiers pesant sur les échanges dans un contexte de prudence avant la réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed) mercredi. Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en baisse de 0,23% pour le Dow Jones, 0,37% pour le Standard & Poor’s-500 et 0,5% pour le Nasdaq. À Paris, le CAC 40 progresse de 0,2% à 8.164,21 points vers 11h25 GMT. À Francfort, le Dax prend 0,07% et à Londres, le FTSE cède 0,2%.
L’indice paneuropéen FTSEurofirst 300 recule de 0,11%, l’EuroStoxx 50 de la zone euro prend 0,1% et le Stoxx 600 cède 0,11%.
L’indice des services financiers recule de 0,26%, la baisse étant menée par Partners Group, dont l’action perd 2,32% après que la société suisse a annoncé un bénéfice annuel stable.
Les actions du pétrole et du gaz, en hausse de 0,62%, ont mené les gains sectoriels.
En Allemagne, le moral des investisseurs s’est amélioré plus que prévu en mars, porté par les attentes d’une réduction prochaine des taux d’intérêts par la BCE et par la croissance chinoise.
Au Japon, la Banque du Japon (BoJ) a mis fin mardi à sa politique de taux d’intérêt négatifs en décidant d’un premier relèvement du coût du crédit en 17 ans, une décision anticipée par les experts qui n’a pas d’impact sur les places financières.
Le marché attend désormais les annonces de la Fed mercredi, alors que des doutes demeurent sur le calendrier et l’ampleur de la première baisse du coût du crédit outre-Atlantique au regard de la solidité des dernières données macroéconomiques.
Les traders prévoient actuellement avec une probabilité de 54,7% que la Fed procédera à une baisse de taux en juin, selon le baromètre Fedwatch de CME Group.
En zone euro, le vice-président de la Banque centrale européenne (BCE) a déclaré mardi que l’institution était prête à discuter d’une baisse de taux en juin.
LES VALEURS À SUIVRE À WALL STREET
Nvidia recule d’environ 1% en avant-Bourse, au deuxième jour de sa conférence annuelle pour les développeurs (GTC) et après la présentation par le géant des semi-conducteurs pour l’intelligence artificielle (IA), de son nouveau produit phare, la puce Blackwell B200.
VALEURS EN EUROPE
Unilever progresse de 3,25% après avoir annoncé la scission de son activité de crème glacée comme entité indépendante dans le cadre d’un nouveau plan de réductions de coûts.
Côté baisse, Atos chute de 22,33% après avoir annoncé la fin de ses discussions avec Airbus concernant la scission de son activité Big Data & Security (BDS) et le report « dans un futur proche » de la publication de ses résultats annuels.
TAUX
Les rendements obligataires en zone euro restent stables, les marchés se concentrant sur les retombées de la décision de la BoJ.
Le rendement du Bund allemand à dix ans allemand a perdu 0,5 point de base (pb) à 2,452%, celui de son équivalent américain perdant 2,0 pb à 4,3203%.
CHANGES
Le yen japonais recule de 0,86% après l’annonce de la BoJ, tandis que le dollar avance (+0,5%) face à un panier de devises de référence, l’euro perdant 0,24% à 1,0845 dollar.
PÉTROLE
Les prix du pétrole reprennent leur souffle, la perspective d’une augmentation des exportations russes étant mise en balance avec la poursuite des attaques ukrainiennes sur les raffineries du pays.
Le Brent abandonne 0,14% à 86,77 dollars le baril, le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) perdant 0,02% à 82,7 dollars.
LA SITUATION SUR LES MARCHÉS
(Certaines données peuvent accuser un léger décalage)
(Rédigé par Augustin Turpin, édité par Kate Entringer)
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?
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