L’Éternel des armées est son nom. Esaïe 51:15
Dieu lui-même est la source de la consolation en tant que Créateur, en contraste avec le caractère passager des simples créatures. Et Il l’est aussi en tant que Dieu de l’alliance (ton Dieu… mon peuple), qui considère la vocation d’Israël comme le couronnement glorieux et non comme l’inverse de l’impressionnante série : les cieux… la terre… Sion.
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« Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui soulève la mer et fais mugir ses flots. L’Éternel des armées est son nom. » (Esaïe 51:15)
« C’est moi, c’est moi qui vous console ! » (verset 12). Combien de croyants dans l’épreuve ont fait l’expérience qu’il n’existe pas de vraies consolations en dehors de celles de Dieu. Il est en effet « le Dieu de toute consolation » (2 Corinthiens 1. 3). Mais nous sommes quelquefois comme le psalmiste qui déclare : « Mon âme refusait d’être consolée » (Psaume 77. 3). Les appels touchants de l’Éternel à son peuple sont restés sans écho. Il n’y a eu « personne qui répondît » à l’exception d’un faible résidu poursuivant la justice (chapitre 50. 2 ; 66. 4).
Maintenant un cri redoublé et pressant se fait entendre : « Réveille-toi, réveille-toi, lève-toi… revêts-toi de tes vêtements de parure » (verset 17et chapitre 52. 1). Il s’agit d’arracher Jérusalem à son sommeil. Car le Messie va paraître. Le chapitre 53 nous montrera l’accueil qui lui fut réservé lors de sa première venue. Rejeté, Christ est remonté dans la gloire. Mais aujourd’hui nous sommes à la veille de son retour.
Le Seigneur Jésus nous rappelle sa promesse : « Voici, je viens bientôt ». Il se présente lui-même : « Moi je suis… l’Etoile brillante du matin » (Apocalypse 22. 12, 16, 17, 20). Réveillée et pleine d’espoir, l’Épouse avec l’Esprit s’écrie : « Viens ». Que chacun y fasse écho dans son cœur et réponde : « Amen ; viens, Seigneur Jésus ! »