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L’Éternel ordonnera à la bénédiction d’être avec toi dans tes greniers et dans toutes tes entreprises. Il te bénira dans le pays que l’Éternel, ton Dieu, te donne. Deutéronome 28:8

Chrétiens TV

Dieu ordonnera à la bénédiction d’être avec son peuple. L’ensemble des bénédictions de ce chapitre essentiellement la sécurité, la prospérité matérielle et l’abondance dans le pays que Dieu va donner à son peuple.

Lors de la conclusion de l’alliance au Sinaï (Exode 23:20-33), jouant son rôle de chef et de médiateur, Moïse avait déjà fait connaître au peuple la promesse de bénédiction de Dieu et l’avait averti de ne pas se tourner vers d’autres dieux.

Après la rébellion des Israélites, il les avait avertis (Lévitique 26) du jugement divin qu’ils subiraient en cas de désobéissance. Ici, il leur adresse une exhortation en se basant sur les bénédictions et les malédictions de l’alliance (voir Lévitique 26:1-45). L’énoncé des bénédictions et des malédictions suit une structure similaire dans ce chapitre :

– Moïse explique clairement que la qualité de vie des Israélites en Canaan dépendra de leur obéissance, ou non, à Dieu (Deutéronome 28:1-2, 15) ;
– il énumère les diverses bénédictions et malédictions (Deutéronome 28:3-6, 16-19) ;
– il développe une sorte de sermon sur cette base (Deutéronome 28:7-14, 20-68). Tout comme elles occupaient une place importante dans la cérémonie de Deutéronome 27:11-26, les malédictions sont aussi beaucoup plus développées ici.

Dans l’optique de Moïse, il était clair qu’Israël ne se montrerait pas fidèle à l’alliance (Deutéronome 31:16-18, 27) et, ainsi, ne jouirait pas des bénédictions de l’alliance ; par conséquent, les malédictions devaient recevoir plus d’attention.

Choisir entre la bénédiction et la malédiction

C’est son alliance avec Dieu qui a créé et soutenu la nation d’Israël ; c’est elle qui lui a donné une identité nationale. Désobéir à Dieu, c’était trahir et rejeter la source même de sa vie.

La seule possibilité pour Israël de considérer son existence particulière était de rester en relation avec son Dieu. C’est dans cette relation que résidait sa paix (shalôm), c’est-à-dire la totalité de son bien-être. Hors de la communion avec Yahvé, Israël était coupé de la vie. Son choix se situait essentiellement entre la bénédiction de la vie et la malédiction de la mort (Deutéronome 30:15-20).

Moïse voulait avertir le peuple des dangers d’une désobéissance future. Lui-même était sur le point de mourir, le peuple allait franchir le Jourdain : tout son avenir dépendait de son obéissance à la loi de Dieu. D’où ce long sermon solennel pour inciter le peuple à une consécration entière à Dieu.

Si nous lisons ces malédictions en sachant ce qui est arrivé à Israël plus tard, les malédictions semblent avoir eu un caractère inévitable. Le peuple, tout élu qu’il fût, avait la même nature pécheresse que les autres peuples. La malédiction ne sera écartée que par Jésus qui « nous a rachetés de la malédiction de la Loi, étant devenu malédiction pour nous » (Galates 3:13).

"Sur les traces des dernières guerres de Religion", tel est le thème d'un colloque de trois jours pour tout comprendre sur la guerre des religions à La Rochelle.

Découvrez l'interview accordée à la chaîne Chrétiens TV par Joseph Moussio, responsable de louange de l'église Impact Centre Chrétien.

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