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Toute la porte de mon peuple sait que tu es une femme vertueuse. Ruth 3,11

Maintenant, ma fille, ne crains point ; je ferai pour toi tout ce que tu diras ; car toute la porte de mon peuple sait que tu es une femme vertueuse. Ruth 3,11 Extrait des Commentaires concis Matthew Henry.

Ce qui pourrait paraître incorrect voire déplacé à certaines époques ou dans certains pays, peut être tout à fait normal en d’autres temps ou pour des nations différentes. Étant juge en Israël, Boaz se devait de conseiller à Ruth ce qu’elle devait faire : il possédait le droit de rachat, et connaissait les différentes procédures relatives au mariage, en vigueur en Israël. La conduite de Boaz est digne de tout éloge. Il n’a pas essayé de tirer quelque avantage de Ruth ; il ne l’a pas dédaignée, en tant que pauvre ou étrangère destituée, ni soupçonnée de mauvaises intentions. Il l’a considérée en tant que femme vertueuse, il lui a même fait une promesse au sujet de son rachat, et l’a renvoyée dès le lendemain matin, avec un présent pour sa belle-mère. Sa promesse était conditionnelle : bien qu’étant de la même parenté que Ruth, il ne disposait pas toutefois de la priorité absolue sur son rachat.

Extrait des Commentaires concis de Matthew Henry

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