Seras-tu élu ?
Jésus-Christ est venu
Pour ceux qui sont blessés
Et chercher les perdus
Comme le bon Berger.
Mais aussi les déçus
Tous les découragés
Ceux qui n’en peuvent plus
Lassés et fatigués.
Il offre le salut
À tous il dit : Venez !
Voici ma main tendue
Peut-on la refuser ?
Pour rencontrer Jésus
Vous devez l’approcher
Sur la croix il mourut
Le Christ fut crucifié.
Judas l’avait vendu
Par sa cupidité
Et perdit le statut
De ceux qui sont sauvés.
Dans quel camp seras-tu ?
La question est posée
Sois parmi les élus
Avec les rachetés.
Ne prends pas le refus
Comme réponse à donner
Regarde ceux qui ont cru
Ne sont plus angoissés.
Lecture : Matthieu 22 v 14 :« Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus ».
Nous sommes dans une période électorale, et tous les candidats mettent tout en œuvre pour être élus. Les électeurs que nous sommes devrons choisir la liste de ceux qui nous aurons convaincus. Ainsi la bataille est engagée et tous les coups sont permis.
Mais notre poème, appuyé sur la Parole de Dieu nous place en face d’une autre élection qui concerne chaque homme et chaque femme, que Dieu appelle dans sa grâce et son grand amour. La différence est que nous sommes électeurs, et choisissons nous-mêmes si oui ou non, nous serons parmi les élus !
Comment donc être élus, et que faut-il faire ? La Bible répond : « Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ? Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé… » (Actes 16 v 30-31).
C’est simple, trop simple sans doute ! Et pourtant c’est ainsi que nous pouvons être pardonnés et sauvés dans le nom et l’œuvre de Jésus-Christ crucifié sur la croix du calvaire.
Et Jésus nous dit que plusieurs parmi les appelés ne seront pas élus, parce qu’ils refuseront d’accepter cette voie du salut, qui est la seule : « Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4 v 12).
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
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Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?