Invitation !
La terre est déchirée
Elle se brise et chancelle
C’est l’œuvre du péché
Qui pèse, pèse sur elle.
On sent qu’elle va tomber
Qui la relèvera ?
Car elle a rejeté
Dieu, lui tendant les bras.
Pourtant dans sa bonté
Sa grâce se renouvelle
L’Évangile annoncé
C’est la bonne nouvelle.
Un refuge, un abri
Au jour de la détresse
L’amour de Jésus-Christ
Nous appelle et nous presse.
À l’ombre de sa grâce
Quiconque peut s’abriter
Lorsque le cœur est lasse
Le Christ nous dit : Venez !
Venez à mon festin
Car tout est préparé
N’attendez pas demain
Car les jours sont comptés.
Lecture : Ésaïe 25 v 6 :« L’Éternel des armées prépare à tous les peuples, sur cette montagne, un festin de mets succulents, un festin de vins vieux, de mets succulents, pleins de moelle, de vins vieux clarifiés. »
Après avoir dénoncé le péché au chapitre 24, le Seigneur dans sa grâce propose de relever quiconque a ce désir de vivre autrement ; en changeant de vie pour se laisser instruire et conduire par sa main. Notre lecture nous montre un Dieu généreux où l’abondance est à la disposition de chacun, ainsi que le meilleur. Il nous propose un festin aux saveurs délicieuses.
C’est ainsi que Jésus-Christ présente le royaume de Dieu, comme une invitation ; où tous sont conviés ! : « Un homme dona un grand repas, et il invita beaucoup de gens. À l’heure du repas, il envoya son serviteur dire aux conviés : Venez, car tout est déjà prêt… » (Luc 14 v 17-24). La suite de la parabole nous apprend que plusieurs refusèrent l’invitation ! Est-ce possible ?
Hélas, nous constatons qu’aujourd’hui, cette parabole décrit l’état d’esprit de notre génération. Qu’allons faire, alors que les valeurs morales et spirituelles s’en vont, que l’incertitude concernant notre planète nous fait peur ?
Ce que Dieu propose, faire de nous des nouvelles créatures, comme il le fera pour notre terre si mal menée ! : « Car je vais créer de nouveau cieux et une nouvelle terre ; on ne se rappellera plus des choses passées, elles ne reviendront plus à l’esprit » (Ésaïe 65 v 17).
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La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?