Car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Luc 15:24
Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé ma brebis, celle qui était perdue… Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé la drachme que j’avais perdue… Réjouissons-nous, car mon fils que voici était mort et il est revenu à la vie ; il était perdu et il est retrouvé. Luc 15. 6, 9, 23, 24
Le salut opéré par le Père, le Fils et le Saint Esprit
Les trois paraboles de Luc 15 montrent l’ardent désir de Dieu – Père, Fils et Saint Esprit – de sauver l’humanité perdue. Dans la parabole de la brebis perdue, nous voyons l’œuvre du Fils ; dans celle de la drachme perdue, nous avons l’œuvre du Saint Esprit ; dans la parabole du fils prodigue, nous trouvons l’affection du Père pour le fils errant revenu à la maison.
La parabole de la brebis perdue nous présente l’activité de Jésus en tant que Sauveur. Son merveilleux chemin vers nous l’a amené à descendre sur la terre pour nous chercher, comme le berger a trouvé la brebis perdue et l’a ramenée chez lui. Il a dû beaucoup souffrir pour trouver sa brebis, mais il se réjouit du résultat si heureux de ses souffrances. Et il nous offre une protection sans faille pour notre marche sur la terre : par sa puissance infinie, les croyants seront gardés jusqu’à la fin. Rien ne peut arracher même le plus petit agneau de ses soins. Il amènera chacune de ses brebis à la maison du Père.
Le travail du Saint Esprit pour rechercher ceux qui sont perdus est présenté sous forme voilée dans la parabole de la drachme perdue. Ici, c’est une femme qui cherche assidûment cette pièce égarée. Cette femme peut faire penser à l’activité de l’Église de Dieu, avec ses membres individuels comme instruments de l’Esprit, cherchant diligemment à atteindre les âmes des hommes pour les amener au salut. Le fait que la pièce d’argent soit perdue dans la maison fait penser au passage de l’Épître à Timothée qui compare la chrétienté à “une grande maison” (2 Timothée 2. 20), contenant un mélange de ce qui est précieux et de ce qui est sans valeur pour Dieu. On trouve des âmes à sauver aussi dans les églises chrétiennes.
Dans la parabole du fils prodigue, il s’agit plutôt de quelqu’un qui s’égare loin de la maison, et qui est amené à se repentir et à revenir ; et nous voyons surtout un père qui accueille chez lui ce fils repentant et qui le bénit. C’est ce que fait notre Père à l’égard des hommes qui reviennent à lui. Le cœur de Dieu trouve une joie présente et éternelle dans ce retour des hommes qui comprennent que revenir à la maison du Père est l’unique chemin du salut, et qui le voient courir à eux pour les saisir dans ses bras aimants.
d’après W.W. Fereday
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