Rechercher sur le site

Entrez les mots-clés dans la boîte ci-dessous :

Vous aimez nous lire?

Soutenez-nous !

Inscription à la newsletter

Je reste muet, je n’ouvre pas la bouche, Car c’est toi qui agis. Psaumes 39,9

Les systèmes politiques et médiatiques internationaux ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Depuis sa création en 2003, le Journal Chrétien, service de presse reconnu par l'Etat, est une force démocratique importante pour tous les chrétiens, les pasteurs et les églises parce qu'il les défend et fait éclater la vérité. Lire la suite.

Je reste muet, je n’ouvre pas la bouche, Car c’est toi qui agis. Psaumes 39,9 Extrait des Commentaires concis Matthew Henry.

Il n’y a aucune réelle satisfaction à n’être simplement qu’une créature ; la seule chose qui importe, c’est d’être avec le Seigneur et en communion avec Lui ; le monde ne vit que dans la vanité ; que Dieu puisse nous délivrer de céder à cette tentation. Quand la confiance en la créature s’effondre, quel réconfort de savoir que nous avons un Dieu auquel nous pouvons nous adresser et en qui nous pouvons placer toute notre confiance ! Nous pouvons voir un Dieu bon, maître de toutes choses et régissant tous les événements qui nous concernent ; et un homme bon ne peut rien dire contre cela. Il désire le pardon de son péché et l’effacement de sa honte. Nous devons à la fois rester vigilants et prier, face au péché.

Quand nous sommes sous la main correctrice du Seigneur, nous devons tourner notre regard vers Dieu lui-même, qui ne gère toutes choses qu’en vue de notre bien. Nos voies et nos actes nous confrontent à différents problèmes et nous sommes frappés en retour par nos propres pratiques. Quelle bien piètre chose que la beauté ! Et quelle folie d’en être fier, alors qu’en fait, elle sera certainement et même rapidement bien vite flétrie !

Le corps de l’homme est, en quelque sorte, un sarment de l’âme. Le péché s’est infiltré dans ce sarment pour en extraire en premier lieu la beauté, puis la force, et finalement toute substance vitale. Celui qui a observé la progression lente d’une douleur ou celle de la solitude humaine ressentira bien vite la véracité d’une telle comparaison et verra bien que tout n’est que vanité. Les afflictions sont envoyées pour stimuler la prière. Si elles nous affectent réellement, nous pouvons vraiment espérer que Dieu écoutera nos cris. Le croyant, dans sa route vers le ciel, espère ne pas traverser la maladie ou l’épreuve ; il ne restera pas très longtemps dans cette illusion : marchant avec Dieu, par la foi, il va de l’avant sur sa route, n’étant ni dévié de sa course ni brisé par les difficultés qu’il pourrait rencontrer. Quelle bénédiction de ne pas prendre à cœur les choses de ce monde ; tandis que nous nous dirigeons vers la maison du Père, usons des choses d’ici-bas sans toutefois en abuser ! Puissions-nous toujours porter notre regard vers cette cité, créée et construite par Dieu.

Extrait des Commentaires concis de Matthew Henry

N’hésitez pas à télécharger l’application gratuite Bible.audio dans votre téléphone

Faites un don au Journal Chrétien avant le 31 décembre et bénéficiez de 66% de déduction fiscale

Les commentaires sont fermés.