Je reconnais que tu peux tout, et que rien ne s’oppose à tes pensées. Job 42:2
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Job est saisi par la grandeur de Dieu. La vue de la sagesse divine le remplit d’étonnement. Il « reconnaît » (que Dieu peut tout faire) (le verbe jada évoque une expérience qui transforme toute l’existence). Cette reconnaissance lui fait trouver sa place devant Dieu.
Il a pris conscience que Dieu est bien trop puissant et trop sage pour que l’homme puisse lui faire un reproche. « Le monde a été créé pour lui, et non pour l’homme ; il est le centre de l’univers, pas l’homme » (Bonhœffer Hiob p. 467). Comment l’homme pourrait-il exiger que tout tourne autour de lui ? Job rend à Dieu la gloire qui lui revient en tant que Maître du monde.
Il parvient enfin à confesser ses erreurs et à s’en repentir. Il ignorait toujours pourquoi il avait souffert si cruellement, mais c’en était fini des plaintes, des récriminations et de la contestation de la sagesse comme de la justice divines. Il était réduit à une telle humiliation, écrasé qu’il était par la grandeur de Dieu, qu’il ne lui restait plus qu’à se repentir de son insolence.
Sans avoir reçu le moindre début de réponse à toutes ses questions, il s’inclina calmement, se soumettant humblement devant son créateur et admettant la souveraineté totale du Seigneur.