Tennis-Keys surprend Swiatek et rejoint Sabalenka en finale de l’Open d’Australie
par Ian Ransom
MELBOURNE (Reuters) – L’Américaine Madison Keys a créé la surprise jeudi en renversant Iga Swiatek pour rejoindre sa première finale à l’Open d’Australie où elle affrontera samedi la double tenante du titre Aryna Sabalenka.
Quatorzième à la WTA, Madison Keys s’est imposée face à la numéro deux mondiale Iga Swiatek (5-7, 6-1, 7-6 en 2h35) à l’issue d’un super tie-break et après avoir écarté une balle de match. Elle disputera, à 29 ans, sa deuxième finale en Grand Chelem après celle perdue à l’US Open 2017.
De son côté, Iga Swiatek, cinq Majeurs à son palmarès, n’a toujours pas atteint la dernière marche du premier Grand Chelem de l’année en sept participations.
Plus tôt, Aryna Sabalenka avait dominé l’Espagnole Paulo Badosa (6-4, 6-2 en 1h26) pour se hisser en finale de l’Open d’Australie pour la troisième année de suite, une première depuis Serena Williams (de 2015 à 2017).
Malgré un break d’entrée de match, Paula Badosa, 12e joueuse mondiale, a été dépassée par son adversaire pour sa première demi-finale en Grand Chelem, à 27 ans.
La Biélorusse de 26 ans tentera samedi de succéder à la Suissesse Martina Hingis, dernière joueuse à avoir remporté l’Open d’Australie lors de trois éditions consécutives (de 1997 à 1999).
« C’est un privilège d’être dans une telle situation. Je n’aurais jamais pu rêver de ça. D’abord, je rêvais de gagner au moins un Grand Chelem », a déclaré sur le court celle qui compte trois Majeurs à son palmarès.
A la suite de la défaite d’Iga Swiatek en demi-finales, Aryna Sabalenka est assurée de conserver sa place au sommet du classement de la WTA.
(Rédigé par Vincent Daheron à Paris, édité par Kate Entringer)
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?