NON A L’INSOUCIANCE, OUI A LA REPENTANCE
NON A L’INSOUCIANCE, OUI A LA REPENTANCE
Ésaïe, 22:12 -13《Le Seigneur, l`Éternel des armées, vous appelle en ce jour A pleurer et à vous frapper la poitrine, A vous raser la tête et à ceindre le sac. Et voici de la gaîté et de la joie! On égorge des bœufs et l`on tue des brebis, On mange de la viande et l`on boit du vin: Mangeons et buvons, car demain nous mourrons! 》
Par le biais du prophète Ésaïe, Dieu annonce aux enfants d’Israël qu’ils seront vaincus dans la guerre contre leurs ennemis et que les survivants seront amenés captifs en Babylone. Pour échapper à un tel châtiment, le peuple devait se repentir sincèrement. Mais le constat c’est que toutes les menaces de châtiment n’ont pas réussi à faire changer le peuple qui banalisait les prophéties.
N’est-ce pas une situation similaire que vit l’humanité actuellement? Devant les crises sanitaires et sociales, devant les catastrophes naturelles etc., la logique voudrait que les Hommes prennent conscience et se tournent vers Dieu, dans une attitude d’humilité et de repentance. Malheureusement, le constat est une sorte d’insouciance de la part de nombreuses personnes. ‘’Mangeons et buvons, car demain nous mourrons’’, disent-elles comme si l’enfer était une fatalité, pour les humains. Pourtant Dieu déclare : « Je ne désire pas la mort de celui qui meurt, Convertissez-vous donc, et vivez. » (Ezéchiel 18:32). Que Dieu nous aide. Bonne journée et que Dieu vous bénisse richement.
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
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Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?