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L’Allemagne lance une commission d’enquête sur l’attentat des JO de Munich en 1972

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BERLIN (Reuters) – L’Allemagne a nommé une commission de huit personnes chargée de répondre aux questions toujours en suspens après l’attaque contre les athlètes et les membres de l’équipe israélienne lors des Jeux olympiques de Munich en 1972 , a déclaré vendredi la ministre allemande de l’Intérieur, Nancy Faeser.

« Pendant de trop nombreuses années, il y a eu un manque de compréhension ou de réévaluation des événements, de transparence à leur sujet ou d’acceptation de leur responsabilité », a-t-elle déclaré dans un communiqué.

Le projet s’inscrit dans une démarche plus large du gouvernement qui vise depuis plusieurs mois à se réconcilier avec les familles touchées. C’est dans ce cadre qu’a été proposée en août dernier une indemnisation de 28 millions d’euros.

Des Palestiniens du groupe militant Septembre noir ont pris en otage des membres de l’équipe olympique israélienne le 5 septembre 1972.

Onze Israéliens, un policier allemand et cinq des tireurs palestiniens sont morts après un affrontement au village olympique et à l’aérodrome voisin de Fuerstenfeldbruck.

Les Jeux s’étaient poursuivis après les attaques et le Comité international olympique (CIO) a mis près d’un demi-siècle à répondre aux demandes des familles qui souhaitaient un acte officiel de commémoration lors d’un événement olympique.

En septembre dernier, à l’occasion des commémorations marquant les 50 ans de l’attentat, le président allemand Frank-Walter Steinmeier avait demandé pardon pour l’incapacité de son pays à protéger les athlètes et les membres de l’équipe israélienne.

« J’ai honte. En tant que chef d’État de ce pays et au nom de la République fédérale d’Allemagne, je demande pardon pour la protection insuffisante des athlètes, pour la résolution insuffisante de cette affaire », avait-il alors déclaré dans une cérémonie en présence de proches de victimes et de responsables israéliens.

(Reportage Miranda Murray, version française Victor Goury-Laffont, édité par Blandine Hénault)

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