Décès de Yasuhiro Nakasone à 101 ans
L’ancien Premier ministre japonais Yasuhiro Nakasone est décédé à l’âge de 101 ans, ont annoncé vendredi des sources proches.
TOKYO, 29 novembre (Xinhua) — L’ancien Premier ministre japonais Yasuhiro Nakasone est décédé à l’âge de 101 ans, ont annoncé vendredi des sources proches.
M. Nakasone avait été Premier ministre du Japon de novembre 1982 à novembre 1987.
M. Nakasone, connu pour être un fervent partisan de l’extension des dispositions japonaises en matière de défense, est décédé vendredi peu après 7h heure locale, dans un hôpital de Tokyo, selon les sources.
Considéré comme une figure de poids de la politique japonaise, l’ancien dirigeant était également très proche de l’ancien président américain Ronald Reagan dans les années 1980.
Au cours de son mandat, il a plaidé en faveur de la privatisation du système ferroviaire national japonais et a œuvré en faveur de la révision de la Constitution pacifiste japonaise.
Né en 1918 dans la ville de Takasaki, située dans la préfecture de Gunma, M. Nakasone était entré en politique en 1947, obtenant un siège à la Chambre des représentants (chambre basse du Parlement), pour ensuite conserver son siège au cours de 20 élections successives.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?