L’OMS dit craindre une aggravation du choléra sur le continent avec le passage du cyclone Freddy
La dévastation causée par le cyclone tropical Freddy expose des risques sanitaires majeurs dans les pays d’Afrique australe les plus durement touchés, au milieu des épidémies de choléra déjà aigües à travers le continent, a averti hier jeudi, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un communiqué.
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect. Ensemble, faisons du Journal Chrétien un contre-pouvoir d'influence.
JE FAIS UN DON MAINTENANTDepuis que le cyclone a touché terre à Madagascar, au Mozambique et au Malawi, la dévastation y a accru les risques pour la santé publique, tout au milieu des épidémies de choléra au Malawi et au Mozambique, a indiqué le Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, basé à Brazzaville, capitale de la République du Congo.
Selon le document, au Mozambique, le nombre de nouveaux cas de choléra a plus que doublé au cours de la semaine écoulée, passant de 1.023 à 2.374 nouveaux cas au 20 mars.
Bien que le Malawi, qui connaît sa pire épidémie de choléra de son histoire, ait enregistré une baisse du nombre de nouveaux cas, les inondations massives risquent de freiner les récents progrès réalisés dans sa lutte contre la maladie.
En février 2023, le Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique avait déjà averti que si la tendance actuelle à la hausse rapide se poursuit, le nombre de cas pourrait dépasser celui enregistré en 2021, qui était la pire année pour le choléra en Afrique en près d’une décennie. En 2021, 141.467 cas de choléra, dont 4.094 décès, ont été enregistrés sur le continent africain.
Les épidémies de choléra, qui touchent actuellement 14 pays africains, sont également exacerbées par des phénomènes climatiques extrêmes et par des conflits qui ont accru les vulnérabilités en poussant les populations à fuir leurs maisons et à faire face à des conditions de vie précaires a poursuivi l’OMS.
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Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.
Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
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Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?
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