Samuel Eto’o suspend le Secrétaire général de la Fecafoot pour corruption.
Il est accusé de mauvaise gestion financière mais aussi de supcon de corruption dans Plusieurs marchés publics.
Selon les sources en provenance de la Fecafoot, Benjamin Banlock actuel secrétaire général de la Fecafoot est » accusé » de mauvaise gestion financière et supçon de magouilles dans les marchés publics. Mais également d’acte de corruption dans la gestion de certains clubs en conflit à l’exemple de Aigle royal de Nkongsamba où il aurait reçu une forte somme d’argent du président déchu, Adolphe Nseke pour annuler l’assemblée générale du 08 avril de cette annoncée ».
Désormais » la gestion des comptes, de la Fecafoot a été transmise à Monsieur Jean Luc Camille, directeur du cabinet du président de la Fecafoot . Samuel Eto’o qui a fait de la lutte contre la corruption, son cheval de bataille a cru bon de le suspendre » explique journaliste Directeur de publication de la voie du Mongo.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?