Cameroun : le « bili-bili », une boisson locale qui fait bon ménage avec une catégorie des jeunes à Yaoundé
À l'heure de l'intelligence artificielle, l'accès à des faits vérifiables est crucial. Soutenez le Journal Chrétien en cliquant ici.Brassée traditionnellement à base de maïs, sorgho, et du mil, ce breuvage attire du beau monde dont les jeunes dans bon nombre de communes de la capitale surtout les dimanches. Agglomérations
Dans certains quartiers populaires, entre autres, Elig-Edzoa, Etoa-Meki, Mfandena, Abattoir, Obili et bien d’autres, ça grouille de monde, dès les premières de la journée, tous les dimanches dans certains points de vente bien identifiés.
En plein air et autour des ustensiles de distribution où sont installées des vendeuses, des attroupements attirent la curiosité. Des hommes, des jeunes et quelques femmes dégustent fièrement cette mixture conçue localement et qui fait courir la clientèle.
Au regard du prix, les consommateurs se recrutent dans tous les rangs sociaux. Les prix varient entre 100 FCFA et 500 FCFA, en raison de quantités diverses, allant d’un verre à un pot de pâte à tartiner.
Avec un taux élevé d’alcool environnant 45 degrés, plusieurs camerounais et autres ressortissants des pays voisins, entre autres, Tchad, RCA et autres, qui ont fait de cette boisson leur préférée, disent que son goût exceptionnel. À en croire leurs propos, ils en prennent pour des raisons diversifiées. Soit pur réchauffer l’organisme, soit parce qu’elle est nourrissante et j’en passe !
Selon les mêmes sources, « c’est une boisson réservée, généralement, aux hommes et interdite aux apprentis consommateurs ». Car avant le coucher du soleil, le spectacle est, à l’accoutumée, désolant. Les riverains assistent à des incompréhensions entre les consommateurs qui génèrent souvent des bagarres généralisées. Pendant ce temps, les tenancières de ces comptoirs de « bili-bili », dans la plupart des cas, des doyennes de ces quartiers font de bons chiffres d’affaires, malgré le trouble de quiétude causée au voisinage.
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