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DIEU

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Dieu est et peut être connu. Ces deux affirmations sont le fondement et l’inspiration de la vraie religion. La première est une affirmation de foi et la seconde d’expérience. Puisque l’existence de Dieu ne peut être prouvée scientifiquement, elle relève d’un postulat de foi; et puisque Dieu transcende sa création, il ne peut être connu que s’il se révèle.

Le christianisme a la particularité d’affirmer que Dieu peut être connu en tant qu’être personnel par le moyen de la révélation scripturaire. La Bible n’a pas été écrite pour prouver l’existence de Dieu mais pour le faire connaître, ainsi que ses oeuvres. La révélation biblique de Dieu est donc, dans sa nature, progressive, et atteint sa plénitude en Jésus-Christ son Fils. À la lumière de cette révélation scripturaire, plusieurs affirmations fondamentales peuvent être faites au sujet de Dieu.

I. Son être

Dieu existe par lui-même. Alors que sa création dépend de lui, il est parfaitement indépendant de sa création. Non seulement il a la vie, mais il est la vie pour l’univers entier, et possède en lui-même la source de la vie. Dieu ne dépend en aucune manière du cadre dans lequel il choisi de se faire connaître. Cette qualité divine s’exprime probablement dans le nom « Yahvé » et dans l’affirmation: « Je suis celui qui est », c.-à-d. « je suis celui qui existe par lui-même » (Ex3.14).

La vision de Dieu que présente Ésaïe implique la même perception: « N’as-tu pas appris que l’Éternel est Dieu de toute éternité? C’est lui qui a créé les confins de la terre… Il donne de la force à qui est las et il augmente la vigueur de celui qui est fatigué » (Es 40.28-29). Il donne et ses créatures reçoivent. Le Christ est celui qui a exprimé le plus clairement ce mystère lorsqu’il a dit: « En effet, comme le Père possède la vie en lui-même, il a accordé au Fils d’avoir la vie en lui-même » (Jn 5.26). Le fait de posséder la vie en soi-même est donc une caractéristique essentielle de la divinité. Dans toute l’Écriture, Dieu se révèle comme la source de tout ce qui existe, animé ou inanimé, le Créateur, celui qui donne la vie, qui seul possède la vie en lui-même.

II. Sa nature

Par nature, Dieu est pur esprit, c.-à-d. puissance intelligente. À propos du culte, le Christ fait cette révélation: « Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent par l’Esprit et en vérité » (Jn 4.24). À ce sujet, il faut distinguer Dieu de celles de ses créatures qui sont spirituelles. Lorsqu’on dit que Dieu est pur esprit, on affirme qu’il n’est pas corps et esprit comme l’être humain. Il est seulement esprit, sans corporéité, et n’a donc pas de présence physique. Lorsque les auteurs bibliques parlent des yeux, des oreilles, des mains et des pieds de Dieu, ils attribuent à Dieu des pouvoirs qui correspondent à ceux que ces organes physiques permettent aux humains de posséder. Si on ne parlait pas de Dieu de cette manière, on ne pourrait quasiment rien dire de lui. Cela n’implique bien sûr la présence d’aucune imperfection en Dieu puisqu’en tant qu’esprit, il ne connaît en son existence aucune limite ni restriction.

Lorsqu’on dit que Dieu est esprit infini, on exprime une vérité qui est totalement hors du domaine de l’expérience. En ce qui concerne le temps et le lieu, la connaissance et la puissance, l’être humain est limité. Dieu est par essence sans limite. Chaque élément de sa nature est infini. Dans le domaine du temps, on appelle son infinité éternité, dans le domaine de l’espace omniprésence, dans le domaine de la connaissance omniscience, et dans le domaine de la puissance omnipotence. Dieu est éternel, omniprésent, omniscient et tout-puissant.

Son infinité se manifeste aussi par sa transcendance. En tant esprit existant par lui-même, Dieu est distinct de toutes ses créatures. Il n’est pas limité au cadre que nous appelons la nature, mais il est infiniment exalté au-dessus d’elle. Même les passages des Écritures qui mettent en avant ses manifestations locales et temporelles soulignent son exaltation et sa toutepuissance d’être extérieur au monde, qui en est le Créateur et le Juge (cf. Es 40.12-17).

En même temps, l’infinité de Dieu implique son immanence, c.-à-d. sa présence et son action en tout lieu de sa création (cf. Ps 139). Il ne se tient pas à l’extérieur du monde, comme un spectateur qui contemplerait l’oeuvre de ses mains. Il pénètre toute chose, organique et inorganique, agissant de l’intérieur, depuis le centre de tout atome et depuis la source la plus intime de toute pensée, vie ou sentiment, en une séquence continue d’effets agissants.

Des textes comme Es 57 et Ac 17 expriment à la fois la transcendance de Dieu et son immanence. Dans le premier de ces deux textes, sa transcendance est exprimée par: « le Dieu très élevé qui demeure éternellement, qui s’appelle le Saint »; et son immanence par: « Je demeure avec l’homme accablé, à l’esprit abattu » (Es 57.15). Dans le deuxième passage, Paul, s’adressant aux Athéniens, déclare à propos du Dieu transcendant: « Dieu, qui a créé l’univers et tout ce qui s’y trouve, et qui est le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite pas dans des temples bâtis de mains d’hommes. Il n’a pas non plus besoin d’être servi par des mains humaines, comme s’il lui manquait quelque chose. Au contraire, c’est lui qui donne à tous les êtres la vie, le souffle et toutes choses. » Il affirme ensuite son immanence en déclarant: il « n’est pas loin de chacun de nous. En effet, “c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être” » (Ac 17.24-25, 28).

III. Son caractère

Le Dieu biblique est un Dieu personnel. Nous affirmons par là qu’il est un être rationnel, conscient de son existence, pourvu d’une volonté, d’une intelligence et d’un sens moral. En tant qu’esprit suprême, il est la source de toute rationalité dans l’univers. Puisque les créatures rationnelles de Dieu possèdent chacune une personnalité autonome, Dieu doit de même posséder une personnalité divine, à la fois transcendante et immanente.

L’A.T. révèle un Dieu qui est personnel, à la fois par sa façon de se révéler et par les relations que son peuple établit avec lui. Le N.T. montre clairement que le Christ a parlé de Dieu en des termes qui n’ont de sens que dans le cadre d’une relation personnelle. Pour cette raison, on peut reconnaître à Dieu des qualités mentales et morales précises, comme on le fait pour une personne humaine. Plusieurs ont essayé de classer les attributs divins, c.-à-d. les qualités personnelles de Dieu, dans des catégories comme: « métaphysiques et morales », « communicables et incommunicables », « absolues et relatives ». Il est difficile de trouver un soutien scripturaire à de telles classifications. Les noms divins correspondent aux attributs divins; il est significatif que, dans l’histoire, ces noms aient été révélés pour répondre aux besoins du peuple de Dieu.

Il semble donc plus juste de traiter chaque attribut comme une manifestation divine appelée par une situation humaine, la compassion par la misère, la patience par la méchanceté, la grâce par la culpabilité, la miséricorde par la repentance, et ainsi de suite, les attributs divins rendant compte d’une relation que Dieu établit avec ceux qui réalisent qu’ils ont besoin de lui. Selon cette approche, Dieu, dans la plénitude de sa nature, est présent en chacun de ses attributs, de sorte qu’aucun attribut ne prenne le pas sur un autre – jamais plus d’amour que de justice, de miséricorde que de droiture – mais que Dieu ne change pas et soit pleinement impliqué dans ce qu’il fait. Si un attribut doit être reconnu comme englobant, c’est sa sainteté, qui doit être affirmée de tous ses attributs: saint amour, sainte compassion, sainte sagesse, etc.

IV. Sa volonté

Dieu est souverain. Cela signifie qu’il conçoit ses propres projets et les réalise en son temps et à sa façon. Sa volonté et son action souveraines ne sont qu’une expression de sa suprême intelligence, de sa puissance et de sa sagesse. La volonté de Dieu n’est pas arbitraire, mais il agit en parfait accord avec son caractère. Elle est la mise en oeuvre de sa puissance et de sa bonté, la raison ultime de toute existence, pour la gloire de Dieu.

Il faut cependant distinguer la volonté par laquelle Dieu prescrit aux humains ce qu’ils doivent faire et la volonté par laquelle il détermine ce qu’il va faire. Les théologiens distinguent donc entre la volonté décrétive de Dieu, par laquelle il décide des événements, et sa volonté préceptive, par laquelle il prescrit à ses créatures ce qu’elles doivent faire. Le décret de Dieu s’accomplit donc systématiquement; ses préceptes sont par contre souvent transgressés. Lorsqu’on conçoit la manifestation souveraine de la volonté divine comme la base ultime de tout ce qui arrive, soit parce que Dieu le fait advenir (cf. Ps 135.5-12), soit parce qu’il permet que cela se produise (cf. Ac 14.16), il faut distinguer la volonté « active » de Dieu et sa volonté « permissive ». L’entrée du péché dans le monde et sa prédominance persistante doivent être attribuées à la volonté permissive de Dieu, puisque le péché est en contradiction avec sa sainteté et sa bonté. Il y a donc un domaine dans lequel la volonté de Dieu domine et un domaine dans lequel la liberté humaine paraît s’exercer contre Dieu. La Bible présente les deux. Le refrain qui revient dans l’A.T. est celui qu’a découvert Nabuchodonosor: « Il agit comme il l’entend envers l’armée des êtres célestes et envers les habitants de la terre. Personne ne peut s’opposer à ses interventions ou lui dire: “Que fais-tu là?” » (Dn 4.32). On trouve dans le N.T. un exemple impressionnant de résistance humaine à la volonté de Dieu, lorsque Jésus, pleurant sur Jérusalem, dit: « Combien de fois j’ai voulu rassembler tes habitants auprès de moi comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes! Mais vous ne l’avez pas voulu! » (Mt 23.37). Néanmoins, dans sa souveraineté, Dieu fait en sorte que tout soit soumis à son projet éternel et qu’en fin de compte, la prière du Christ, reprise par ses disciples, « que ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel » (Mt 6.10; 26.39-42) soit exaucée.

Il nous est impossible de concilier logiquement la souveraineté de Dieu et la responsabilité humaine. Cela vient du fait que nous ne possédons pas la plénitude de la connaissance et de la compréhension divines des lois qui gouvernent les affaires humaines. La Bible nous enseigne que toute vie dépend de la volonté de Dieu, « en qui nous avons la vie, le mouvement et l’être »; de même qu’un oiseau est libre dans les airs et un poisson dans la mer, les humains trouvent leur vraie liberté dans la volonté de celui qui les a créés pour lui-même. Dieu nous maintient tous dans une liberté responsable, qui implique que nous lui rendions des comptes pour tout ce que nous choisissons de faire; sans cela, la profonde liberté qu’on découvre en vivant pour lui dans la foi et l’amour, et en l’appréciant comme le bien suprême ne pourrait exister.

V. Sa vie

La vie divine est dans son essence une communion. La révélation suprême de Dieu donnée dans les Écritures est la suivante: la vie de Dieu est éternellement en lui-même une communion d’amour unissant trois personnes égales et distinctes, le Père, le Fils et le Saint-Esprit; dans sa relation avec ses créatures morales, Dieu ouvre à leur intention cette communion qui par essence est sienne. Cette vérité pourrait peut-être être lue dans la parole exprimant la volonté divine de créer l’être humain: « Faisons les hommes pour qu’ils soient notre image, ceux qui nous ressemblent ». Cette phrase exprime la volonté de Dieu, non seulement de se révéler comme une communion, mais d’ouvrir l’accès à cette communion divine aux créatures morales qu’il a faites à son image de sorte qu’elles puissent en bénéficier. S’il est vrai qu’en péchant, l’homme a perdu la possibilité d’accéder à cette communion divine, il n’en reste pas moins vrai que Dieu a la volonté de rétablir cette possibilité. C’est le grand objectif de la rédemption: Dieu en trois personnes agissant pour notre rétablissement, nous appelant selon le choix de son amour, nous sauvant par son amour rédempteur, et nous recréant pour cette communion par son amour régénérant (cf. Trinité). La parole de Jean, basée sur l’oeuvre rédemptrice du Christ, associée à la pluralité divine et à la communion dont il a parlé auparavant (1Jn 1.3-2.2; 3.24-4.6) est le sommet de la révélation biblique: « Dieu est amour » (1Jn 4.8-10, 16).

VI. Sa paternité

En tant que personne, Dieu peut établir des relations, la plus proche et la plus tendre connue dans la Bible étant une relation paternelle. Le Christ a le plus souvent appelé « Père » celui à qui il adressait ses prières et dont il parlait dans son enseignement. La théologie réserve le nom de Père à la première personne de la Trinité. On trouve dans les Écritures quatre types de relations dans le cadre desquelles le nom de « Père » est attribué à Dieu.

1. Sa paternité créationnelle. La relation fondamentale qui unit l’être humain à Dieu, que ce dernier a créé à son image, s’exprime de la manière la plus juste et la plus naturelle, dans la relation qui implique le don de la vie. C’est plus particulièrement à propos de la nature spirituelle de l’homme que cette relation est présentée. En Hé 12.9, Dieu est appelé « Père des esprits », et en Nb 16.22, « Dieu du souffle de tout être » (NBS). Paul, lorsqu’il prêche devant l’Aréopage, fait appel à cette considération pour démontrer l’irrationalité d’un être rationnel qui adore des idoles de bois et de pierre, citant le poète Aratos (« nous sommes ses enfants ») pour indiquer que l’homme est une créature de Dieu. La condition de créature de l’être humain est donc la contrepartie de la paternité générale de Dieu. Sans Père-Créateur, il n’y aura pas de genre humain.

2. Sa paternité théocratique. Il s’agit de la relation entretenue par Dieu avec le peuple de l’alliance, Israël. Dans le cadre de cette relation collective plutôt que personnelle, Israël, peuple de l’alliance, est l’enfant de Dieu (Ex 4.22-23). Et ce peuple est incité à reconnaître cette relation filiale et à y répondre: « Si je suis votre Père, où donc sont les honneurs qui me sont dûs? » (Ml 1.6; cf. 2.10; Es 64.8). Mais puisque la relation d’alliance est, d’un point de vue spirituel, rédemptrice, elle peut être considérée comme annonciatrice de la révélation néotestamentaire de la paternité divine.

3. Sa paternité d’engendrement. Elle concerne exclusivement la deuxième personne de la Trinité, appelée Fils de Dieu, et même Fils unique de Dieu. Elle ne peut donc s’appliquer à une créature. Le Christ, lorsqu’il était sur la terre, a fréquemment parlé de cette relation exclusive. Dieu était son Père par génération éternelle, c.-à-d. par une relation essentielle et éternelle dépassant notre compréhension. Il est significatif que Jésus, en enseignant les Douze, n’ait jamais dit « Notre Père » de façon à s’associer à leur groupe. Dans le message qu’il confie à Marie après la résurrection, il mentionne deux relations distinctes: « mon Père qui est votre Père » (Jn 20.17); mais les deux sont liées de sorte que la première soit le fondement de la seconde. Son statut de Fils, bien qu’unique, est la base du leur, en vertu de la communion de foi et de l’union du Christ et de ses disciples effectuée par le Saint-Esprit.

4. Sa paternité d’adoption. Il s’agit de la relation rédemptrice que connaissent tous les croyants et qui, dans le contexte de la rédemption, est présentée sous deux éclairages: celui de leur statut en Christ, et celui de l’oeuvre de régénération du Saint-Esprit en eux. Cette relation à Dieu est fondamentale pour tous les croyants, comme Paul le rappelle aux Galates: « Par la foi en Jésus-Christ, vous êtes tous fils de Dieu » (Ga 3.26). Par cette union vivante avec le Christ, ils sont adoptés et intégrés à la famille de Dieu, et deviennent bénéficiaires de l’oeuvre de régénération de l’Esprit qui leur accorde le statut d’enfants: la première de ces deux dimensions est objective, la deuxième subjective. À cause de leur nouveau statut devant Dieu (justification) et de leur nouvelle relation avec Dieu (adoption) en Christ, ils ont part à la nature divine et deviennent membres de la famille de Dieu. Jean l’affirme clairement dans le premier chap. de son évangile: « Certains pourtant l’ont accueilli; ils ont cru en lui. À tous ceux-là, il a accordé le privilège de devenir enfants de Dieu. Ce n’est pas par une naissance naturelle, ni sous l’impulsion d’un désir, ou encore par la volonté d’un homme, qu’ils le sont devenus, mais c’est de Dieu qu’ils sont nés » (Jn 1.12-13). Ils reçoivent donc les privilèges liés à cette relation filiale: « Puisque nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers » (Rm 8.17).

Il est clair que l’enseignement du Christ sur la paternité de Dieu limite cette relation au peuple des croyants. Il ne pré-suppose nulle part l’existence d’une telle relation entre Dieu et les incroyants. Non seulement il ne donne aucun indice de l’existence d’une paternité de Dieu à l’égard de tous, mais il ajoute, s’adressant à ses opposants: « Votre père, c’est le diable » (Jn 8.44).

C’est par cette relation paternelle que le N.T. exprime les aspects les plus miséricordieux du caractère divin: son amour, sa fidélité et les soins dont il entoure les croyants; mais elle met aussi en valeur le respect dû à Dieu, la foi et l’obéissance qu’un enfant doit à son père. Le Christ nous a appris à prier en disant « notre Père qui est aux cieux » (et pas seulement « notre Père »): il enseignait ainsi le respect et l’humilité. Aussi intime, riche et chaleureux soit son amour, Dieu reste Dieu, majestueux, extraordinaire et impressionnant.

R.A.F. – P.F.J.

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