Entretien Le Maire-Malpass (Banque mondiale) sur les vaccins anti-COVID
WASHINGTON (Reuters) – Le président de la Banque mondiale, David Malpass, et le ministre français de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, ont discuté mardi du déploiement des vaccins contre le COVID-19, d’allègement de la dette et d’autres aides pour les pays pauvres, dont le Tchad et le Soudan, a rapporté la banque.
Dans un communiqué, la Banque mondiale a indiqué que David Malpass et Bruno Le Maire se sont entretenus du soutien apporté par la France au Soudan, alors que celui-ci règle ses arriérés auprès d’institutions financières internationales et que la France apporte une contribution croissante à l’Association pour le développement international.
« Le président Malpass a aussi souligné l’importance d’une avancée supplémentaires sur la transparence et la viabilité de la dette », est-il ajouté dans le communiqué.
(Andrea Shalal et David Lawder; version française Jean Terzian)
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?