Le Président zambien exhorte les pays africains à garantir l’éducation pour tous
Le président zambien Hakainde Hichilema a exhorté vendredi les pays africains à veiller à ce que l’éducation soit accessible à tous. L’éducation est le plus grand égalisateur et investir dans un système éducatif résilient et accessible à tous est la pierre angulaire du développement, a déclaré M. Hichilema à la veille de la Journée de l’Afrique, qui tombe le 25 mai.
« Alors que nous célébrons la Journée de la libération de l’Afrique, célébrons le pouvoir de l’éducation dans la transformation des vies et la construction d’une Zambie meilleure, d’une Afrique meilleure et effectivement d’un monde meilleur », at-il déclaré.
La Journée de l’Afrique, également connue sous le nom de Journée de la libération de l’Afrique, est célébrée chaque année pour fêter les réalisations de l’Organisation de l’unité africaine, le précédent de l’Union africaine, depuis sa création le 25 mai 1963.
Selon l’Union africaine, le thème de la commémoration de cette année est « Eduquer un Africain digne du XXIe siècle : construire des systèmes éducatifs résilients pour un accès accro à un apprentissage inclusif, tout au long de la vie , de qualité et pertinent en Afrique ».
Ce thème place l’éducation et les compétences au centre de l’agenda de transformation sociale du continent et résonne avec l’orientation politique de la Zambie visant à garantir un apprentissage inclusif et de qualité pour tous les citoyens, a noté M. Hichilema.
Il a ajouté que l’Afrique investissait de manière soutenue dans l’enseignement supérieur, la science, la technologie, la recherche et l’innovation, et que la Zambie mettait en œuvre un certain nombre de mesures visant à promouvoir un meilleur accès à un apprentissage inclusif, durable et pertinent.
Le président a déclaré que la Journée de la libération de l’Afrique devrait être commémorée pour rendre hommage aux courageux ancêtres et mères pour le sacrifice qu’ils ont consenti en luttant pour la libération du continent et pour célébrer les progrès et l’engagement en faveur des privilégiés du panafricanisme.
Avec Salomon Albert Ntap.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?