Béni soit l’homme qui se confie dans l’Eternel, et dont l’Eternel est l’espérance ! Jérémie 17:7
Celui qui place sa confiance en Dieu vit l’esprit en paix, en étant pleinement satisfait parce qu’il a tout ce dont son cœur a besoin.
Jérémie est profondément attristé de constater que le peuple a abandonné l’Eternel qui est la véritable source de vie pour se tourner vers de vaines idoles ; ils ont préféré se confier en eux-mêmes qu’en l’Eternel. Ce faisant, ils ont produit des œuvres stériles et attiré sur eux le jugement divin. Le prophète en souffre doublement : il est contraint d’annoncer aux membres de son peuple cette mauvaise nouvelle, ce jugement qui vient, et en récolte l’hostilité des siens.
« Maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme » (Jérémie 17:5)
Jérémie établit une opposition entre la personne qui expérimente la sécheresse (Jérémie 17:5-6) et celle qui reçoit la bénédiction (Jérémie 17:7-8). La différence d’attitude réside dans l’objet de la confiance: l’homme ou Dieu (Jérémie 17:5, 7).
« Béni soit l’homme qui se confie dans l’Eternel, et dont l’Eternel est l’espérance ! » (Jérémie 17:7)
Le contraste est saisissant en termes de vitalité : il s’agit de ressembler à un arbuste du désert (Jérémie 17:6) ou à un arbre pouvant tirer sa subsistance d’un cours d’eau et porter du fruit (Jérémie 17:8 ; voir Psaumes 1:1-3).
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