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Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Romains 8:31

Paul conclut ce résumé de la vie chrétienne vécue hors de l’emprise et du pouvoir de la loi, par un chant de louange triomphal. Si Dieu domine notre destinée, rien d’autre ne compte. Aux membres de la famille de la foi, il a donné son propre Fils et dans ce don suprême, tout le reste ne peut qu’être inclus.

Dieu est pour nous !

Instinctivement, l’homme déchu considère Dieu comme étant contre lui. La réalité est bien différente, comme le montre l’évangile. Dieu a son cœur tourné vers tous les hommes, et il s’emploie activement et éternellement en faveur de tous ceux qui croient. Cela réduit au silence les ennemis. Aucun d’entre eux ne peut être efficacement contre nous, quand bien même ils le voudraient de toutes leurs forces.

Tout ce qui a été exposé par l’apôtre démontre que “Dieu est pour nous.” Loin d’être un Dieu vengeur qui exige de sa créature, comme Job pouvait le penser (Job 14. 16, 17), il a tout préparé à l’avance pour amener des fils à la gloire (Hébreux 2. 10). Qui donc pourrait s’élever contre nous et s’opposer à l’accomplissement du plan de Dieu ?

Une preuve doit être encore ajoutée.

Dans les versets qui précèdent, Paul nous a présenté le déroulement du dessein de Dieu dans ses effets pour nous, sans revenir sur le moyen qu’il s’est donné à lui-même pour l’accomplir. Un mot seulement le rappelle : il nous a justifiés. Mais à quel prix ?

Plus encore que la grandeur du dessein de Dieu, c’est l’immensité du don de son Fils qui prouve sa détermination de bénir. “Celui même qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous fera-t-il pas don aussi, librement, de toutes choses avec lui ?” Nous lisons en Malachie : “Un homme épargne son fils qui le sert” (Malachie 3. 17). Mais Dieu n’a pas épargné son Fils qui l’a si parfaitement servi. À cause de nos péchés, Dieu l’a livré aux coups de sa justice. Qui pourrait accuser encore ceux dont les péchés ont été expiés par sa croix ? Ce serait dire que la justice de Dieu n’a pas été satisfaite.

“C’est Dieu qui justifie.”

Remarquons encore l’accent que met la Parole sur le fait qui atteste notre participation à la chaîne de bénédictions des versets 29, 30. Quel relief est donné à la déclaration du premier verset : “Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus” ! Puisque c’est Dieu qui justifie il n’y a ni condamnation, ni personne pour condamner.

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