Temps de délivrance !
Pour tous ceux du pays, de l’ombre de la mort
Une lumière surgit, étincelante d’or
Illumine la terre, de ses rayons de paix
Sur un peuple nombreux, qui se désespérait.
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La joie débordante, de tous les libérés
De ce joug pesant, qui les tenait liés
Notre Dieu a brisé, le bâton destructeur
Il l’avait annoncé, car voici le Seigneur !
Un enfant nous est né, un fils nous est donné
Venu manifester, sa grâce et sa bonté
Appelé : Dieu puissant, le Prince de la paix
Admirable, Éternel, près de nous désormais.
Une année de grâce, pour tous les appelés
Vivez la délivrance, qui vous est proposée
Victoire en Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant
Venu donner sa vie, selon le Testament.
Né dans une crèche, vécut tout simplement
Proche des malheureux, toujours compatissant
Accepta par amour, de mourir à la croix
Et c’est à Golgotha, qu’il accomplit la loi.
Lecture : Ésaïe 9 v 1 :« Le peuple qui marchait dans les ténèbres voit une grande lumière ; ceux qui habitaient le pays de l’ombre de la mort une lumière resplendit ».
Le prophète avait annoncé la venue de Jésus-Christ. Elle est comparée à une lumière resplendissante, qui vient éclairer ce monde plongé dans les ténèbres. L’étoile qui brillait, guidant les mages, n’était que l’introduction à cette lumière, qui allait changer la vie de beaucoup de personnes.
Nous pouvons faire ce parallèle avec le livre de la (Genèse 1 v 2) : « La terre était informe et vide ; il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux ». Dieu allait intervenir, en faisant surgir la lumière (v 3), et ainsi rendre cette terre habitable.
La venue de Jésus-Christ a suivi le même processus : La lumière, puis durant son ministère, guérir les malades, délivrer les captifs, et amener la paix dans les cœurs. Dans le livre de la Genèse, nous assistons à la création, des arbres, des animaux, de l’homme et de la femme.
Par les Évangiles, nous sommes mis en relation avec « la nouvelle naissance ».
Celle-ci est indispensable, car sans elle point de salut, de délivrance. Jésus-Christ répondant à un homme religieux lui disait : « En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu » (Jean 3 v 3).