« Qui peut trouver une femme vertueuse ? Elle a bien plus de valeur que les perles. » (Proverbes 31:10)
BESOIN DE 5000 PARTENAIRES POUR LA CHAÎNE CHRETIENS TVLe texte de Proverbes 31:10-31 élève la femme à une position d’honneur suprême. Ce poème exalte la femme vaillante ou capable, vertueuse, parfaite, forte, une femme d’élite, de caractère.
Ce texte nous donne la description d’une femme vertueuse. Cette femme a de nombreuses qualités : elle est fiable, prévoyante, active, industrieuse, généreuse, habile et pieuse. Elle se confie à l’estime et à l’affection son mari, et de façon à connaître ses désirs, elle est disposée à se soumettre à sa volonté.
Elle ne doit sa position d’honneur à son caractère industrieux et à l’application diligente des principes de sagesse inspirés par la « crainte de l’Eternel ». Dans tous les domaines de la vie, elle a présenté des réalisations qui ont contribué à la prospérité du foyer et de la société.
Son époux peut lui accorder toute sa confiance, et il la laissera diriger sa maison. Elle le rend heureux et recherche constamment son bien. Elle supervise toutes les activités de la maison (verset 27).
Elle prend de la peine pour accomplir correctement son devoir, et y trouve son plaisir. Elle veille à ce que le temps soit bien géré et que rien ne soit perdu. Elle se lève tôt. Elle s’applique à sa tâche spécifique, de tout son cœur, sans hésitation.
Elle ne cherche pas la vie facile. Ses priorités vont vers le bien des autres: des siens d’abord, puis des besoins des pauvres de la communauté (verset 20).
De plus, elle s’occupe d’activités lucratives pour augmenter les ressources du foyer (verset 24). Elle se fait « femme d’affaire », montrant qu’elle est capable aussi bien que les hommes dans tous ces domaines. Elle constitue la pierre angulaire d’une société saine et solide.
Elle s’efforce de mener à bien tout ce qu’elle entreprend par une bonne gestion. Beaucoup de personnes se contentent d’acheter leurs produits sans chercher à les créer eux-mêmes. Cette femme vertueuse pourvoit au bien de sa maison. Elle fait des économies.
Elle n’est ni la concurrente ni l’esclave de son mari, mais une aide complémentaire. Ses activités extérieures sont centrées en priorité sur le bien des siens au foyer, incitant chacun à accomplir son devoir envers Dieu, comme envers les autres.
Elle désire autant donner que recevoir gaiement et en toute liberté d’esprit.
Elle est discrète et serviable ; chaque parole qu’elle prononce démontre qu’elle se gouverne elle-même avec sagesse. Elle veille non seulement sur elle-même, mais elle donne aussi des conseils prudents aux autres.
L’amour et la tendresse règnent en son cœur, ce qui se remarque dans ses propos. Son cœur est en communion avec Dieu, même lorsque elle bien occupée par ses tâches ménagères.
Elle craint le Seigneur par-dessus tout. La beauté d’une femme n’est une preuve ni de sagesse, ni de bonté, mais elle a trompé hélas plus d’un homme, lors du choix de son épouse. La crainte de Dieu régnant dans un cœur est la beauté de l’âme ; elle dure à jamais.
Elle reste inébranlable même devant les déceptions.
Fidèle au vœu de son mariage et au maintien de l’unité familiale, elle se trouve aux antipodes de la femme adultère (Proverbes 5).
Rien n’est dit de son apparence physique ni de son charme féminin ; dans ce sens, elle ne correspond pas aux normes mondaines actuelles de la féminité.
Elle a choisi d’ancrer sa vie dans la « crainte de l’Eternel » et de régler ses priorités selon la sagesse, aussi bien dans l’emploi de son temps que dans l’inspiration de ses décisions et de ses paroles. C’est ainsi qu’elle atteint à la véritable liberté.
Au terme de sa vie, la femme vertueuse recevra du Seigneur le témoignage de son activité et de son utilité.
Elle se réjouira dans l’espérance du monde spirituel à-venir. Elle est une grande bénédiction pour son entourage. Si le fruit de son travail s’est avéré bon, elle en reçoit tout bon témoignage.
Chacun devrait désirer recevoir un tel honneur de la part du Seigneur ; et c’est sur de tels principes que nous devrions nous baser.