« Quel homme d’entre vous, s’il a cent brebis, et qu’il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? » (Luc 15:4)
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Quel est l’homme parmi vous qui, s’il a cent brebis et en a perdu une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf au désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il l’ait trouvée ? Quand il l’a trouvée, il la met sur ses épaules, tout joyeux. Luc 15. 4, 5
Quatre grands sujets de joie (3)
La joie du Berger
Tout est joyeux dans ce chapitre de l’Évangile de Luc : lorsque le bon Berger a trouvé sa brebis perdue, lorsque la femme a retrouvé la drachme perdue, lorsque le fils prodigue est revenu à la maison et que le père l’a retrouvé sain et sauf. Le Père, le Fils, le Saint Esprit, les anges, toute la maison céleste se réjouit ! Et nous, nous réjouissons-nous ? Sommes-nous la “brebis perdue” qui est le sujet de la joie de tout le ciel ? Avons-nous la certitude d’être une brebis du bon Berger ?
Au début du récit, une seule chose est dite au sujet de cette brebis : elle était perdue. Si donc nous savons que nous sommes perdus, nous avons la preuve assurée que nous sommes cette brebis que le bon Berger est venu sauver. Qu’elle est précieuse à son coeur ! Quelle joie lorsqu’il l’a trouvée ! Évidemment, la brebis est heureuse, il est à peine besoin de le dire, mais son bonheur n’est pas comparable à celui du bon Berger.
Précieux et divin Sauveur : ce qui le réjouit, c’est d’avoir sa brebis et le ciel se réjouit avec lui. Lorsque le fils prodigue revient, le Père tue le veau gras et fait un festin ; la mélodie et les danses remplissent la maison. Un seul ne participe pas à l’allégresse générale, c’est le fils aîné. Il pensait n’avoir jamais désobéi à son père, il se croyait trop bon pour s’asseoir à la même table qu’un pauvre coupable ; il ne comprenait rien à la joie du ciel et ne connaissait pas le coeur du Père ; lui seul n’est pas heureux. (à suivre)
Oh ! quelle joie éclate dans le ciel,
Lorsqu’un pécheur, répondant à l’appel
Du Sauveur qui l’invite,
Tous ses péchés sont ôtés pour jamais !
Jésus lui donne et la vie et la paix,
Et dans son sein l’abrite.
(à suivre)
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