Rechercher sur le site

Entrez les mots-clés dans la boîte ci-dessous :

Vous aimez nous lire?

Soutenez-nous !

Mais pour nous, l’Éternel est notre Dieu, et nous ne l’avons point abandonné. 2 Chroniques 13:10

VOUS AIMEZ NOUS LIRE ? FAITES UN DON !

Abija se tint sur le haut de la montagne de Tsemaraïm… et dit : Écoutez-moi, Jéroboam et tout Israël ! … N’avez-vous pas chassé les sacrificateurs de l’Éternel, les fils d’Aaron, et les lévites ? Et vous vous êtes fait des sacrificateurs… de ce qui n’est pas Dieu. Mais pour nous, l’Éternel est notre Dieu, et nous ne l’avons point abandonné, les sacrificateurs au service de l’Éternel sont fils d’Aaron, et les Lévites remplissent leurs fonctions. 2 Chroniques 13:4, 9, 10.

Ce qu’Abija nous apprend (2)

Vie spirituelle : apparence ou réalité

Alors qu’Abija est sur le point de faire la guerre à Israël, il leur rappelle à juste titre le péché de Jéroboam, leur premier roi : à sa suite, le peuple d’Israël s’était détourné de Dieu pour se livrer à l’idolâtrie. Il explique ensuite comment, en contraste, le peuple de Juda avait gardé l’Éternel comme son Dieu, et donne des détails sur tout ce qu’il faisait de bien : les sacrificateurs étaient les fils d’Aaron, et les lévites accomplissaient leurs tâches : “Chaque matin et chaque soir, ils font fumer les holocaustes à l’Éternel, et l’encens aromatique ; et nous avons les pains rangés sur la table pure, le chandelier d’or et ses lampes qu’on allume chaque soir, car nous nous acquittons de la charge que l’Éternel, notre Dieu, nous a confiée ; mais vous, vous l’avez abandonné” (2 Chroniques 13. 11). Très impressionnant ! Mais que faisait Abija lui-même ? Malheureusement, “son cœur ne fut pas parfait avec l’Éternel, son Dieu” (1 Rois 15. 3). Abija se vante de belles apparences extérieures, mais le cœur n’y était pas.
Qu’en est-il de ma marche comme chrétien ? Est-ce que j’affiche seulement des habitudes et des apparences extérieures de piété, ou ma marche correspond-elle à une réalité intérieure ? Y a-t-il un fossé entre ce que je professe et une vie spirituelle pauvre ? Dois-je renoncer à quelque chose ? – Oui, certainement, mais pas au sentier de la foi en Jésus Christ ! Je dois renoncer à ma tiédeur, à ce qui retient mon cœur loin de l’amour de Dieu, à ce qui empêche ma communion heureuse avec le Père et avec le Fils par le Saint Esprit. Cela, je dois l’abandonner. Alors, si j’ai un cœur vrai, mes actions plairont à Dieu.
Abija avait beaucoup de prétentions au sujet du culte à rendre à Dieu, mais son cœur n’y était pas réellement engagé. Les apparences peuvent être trompeuses. Plutôt que de grandes apparences sans réalité intérieure, il vaut mieux une foi réelle avec de la piété. Demandons au Seigneur qu’il nous donne de lui être plus consacré(e) dès aujourd’hui !
A. Leclerc

Source: Calendrier Le Seigneur est proche – Bibles et Publications Chrétiennes – Achetez Le Seigneur est proche en cliquant ici.

Les commentaires sont fermés.

LES ARTICLES LES PLUS LUS