L’Éternel Dieu planta un jardin en Éden, du côté de l’orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé.
Genèse 2:8 – Puis l’Éternel Dieu planta un jardin en Éden, du côté de l’orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé.
Deux jardins (1) Désobéissance et mort
Le mot Éden, qui signifie : “délice, beauté”, caractérisait bien ce jardin préparé par Dieu pour le bien de l’humanité. Un fleuve l’arrosait et de magnifiques arbres portaient de multiples fruits. Dieu planta au milieu l’arbre de vie, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
Adam devait cultiver et garder ce jardin. Occupation heureuse, mais comportant une responsabilité. Dieu lui avait donné un seul commandement : “Tu mangeras librement de tout arbre du jardin ; mais de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas ; car, au jour où tu en mangeras, tu mourras certainement” (Genèse 2. 16, 17).
Que fait Adam ? Est-il simplement reconnaissant à Dieu pour cet environnement merveilleux, est-il heureux de répondre à son commandement, comme on le fait pour un être à qui l’on doit tout, est-il satisfait ? Non, lui et sa femme Ève écoutent la voix séductrice du serpent. Ils adoptent l’idée diabolique de désobéir à Dieu. Par cet acte “le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et ainsi la mort a passé à tous les hommes, du fait que tous ont péché” (Romains 5. 12).
Satan a-t-il remporté la victoire en entraînant avec lui à la perdition les hommes que Dieu voulait rendre heureux ? Dieu aimait ses créatures et avait un plan de salut pour elles. Pour cela, il a envoyé son Fils sur la terre, qui a vaincu Satan et “délivre tous ceux qui, par la crainte de la mort, étaient, pendant toute leur vie, tenus en esclavage” (Hébreux 2. 15). Pour les sauver, Jésus a dû entrer dans un jardin bien différent.
(suite demain)
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