Je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. Jean 5:30
(Jésus a dit :) Je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. Jean 5. 30
Je suis descendu du ciel pour faire, non pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. Jean 6. 38
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On affirme parfois qu’Adam, dans le jardin d’Éden, était libre de ses choix. L’arbre défendu était devant lui, son fruit était appétissant. À lui de décider… Ce serait dire qu’il était libre de désobéir à Dieu. Or c’est exactement le principe du péché.
Cette conception de la liberté est fausse. Quand Dieu ordonne, l’homme n’a pas le choix, il doit obéir.
Adam n’était pas un robot, et dans ce sens-là il était libre. Mais il n’existait pas par sa propre volonté. Il était une créature de Dieu (comme chacun de nous). Il était responsable, responsable de reconnaître la bonté de son Créateur, et d’accepter avec confiance sa volonté. Dieu voulait son bien. Il avait dit à Adam : “Tu mangeras librement de tout arbre du jardin ; mais de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas” (Genèse 2. 16, 17). Obéir n’était pas une option.
Jésus, en tant qu’homme, a vécu exactement à l’opposé de cette forme de libre arbitre. La volonté de Dieu, son Père, était sa raison de vivre. A-t-il exercé un quelconque libre arbitre, par rapport à cette volonté ? Jamais ! Alors que le manque de confiance en Dieu a conduit Adam à sa chute, la confiance de Jésus était entière, et son obéissance aussi.
L’homme indépendant de Dieu prétend aller où il veut et faire ce qu’il veut, sans Dieu. Jésus allait là où le Père l’envoyait, il disait et faisait fidèlement ce que son Père lui disait (Jean 4. 34). Le contraste avec Adam et ses descendants est complet. Dieu avait enfin trouvé son plaisir dans un homme, Jésus.
(suite les 2 prochains samedis)
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