J’ai été crucifié avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Galates 2:20
Je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi ; et ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Galates 2. 20
Épicuriens et stoïciens
Pendant son séjour à Athènes, l’apôtre Paul a été confronté aux deux principales écoles philosophiques de l’époque : épicuriens et stoïciens. À notre époque aussi, des courants de pensée variés influencent chacun. Certains sont de “bons vivants”. Ils disent : “Mangeons et buvons, car demain nous mourrons !” (Ésaïe 22. 13). D’autres vivent en acceptant les circonstances de la vie comme elles viennent. Il faut faire le dos rond quand les choses se compliquent et compter sur sa bonne étoile le reste du temps. Pour les uns comme pour les autres, Dieu est absent de leur vie.
Paul présente une autre façon de vivre : vivre avec Dieu. Déjà, nous dépendons tous entièrement de lui pour notre vie terrestre, que nous en soyons conscients ou non. Dieu “donne à tous vie, respiration et absolument tout” (Actes 17. 25). Mais il veut plus que cela pour nous, il veut nous faire entrer dans son bonheur. Il veut que nos motivations de vie soient en accord avec ce qu’il est : amour, vérité, lumière… Pour cela il a envoyé son Fils Jésus Christ sur la terre, modèle de vie parfaite : en lui Dieu déclare qu’il trouve son plaisir. Mais vivre sans lui, c’est aller au-devant d’une condamnation éternelle.
Jésus n’est pas venu pour nous condamner. Il veut sauver ceux qui se repentent de la vie qu’ils ont menée sans Dieu, et qui croient en lui pour avoir la vie éternelle. Vie qui dès aujourd’hui leur permettra d’expérimenter que “je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi”. Vie sobre, vie de foi, dans des situations parfois difficiles, vie heureuse avec Jésus.
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