JO PARIS 2024: Les Bleus médaillés d’argent aux Jeux Olympiques 2024
À l'heure de l'intelligence artificielle, l'accès à des faits vérifiables est crucial. Soutenez le Journal Chrétien en cliquant ici.L’équipe de France masculine de football a décroché vendredi la médaille d’argent aux Jeux olympiques de Paris, apportant à la délégation tricolore sa 56e médaille après celle de bronze remportée à la mi-journée par les frères Lebrun et Simon Gauzy dans l’épreuve par équipes de tennis de table.
Avec 14 titres, la France est provisoirement cinquième au tableau des médailles, devancée d’une seule médaille de bronze par le Royaume-Uni, derrière le trio de tête composé de la Chine, des Etats-Unis et de l’Australie.
Sur la pelouse du Parc des Princes, les Bleuets de Thierry Henry, menés 3-1 par l’Espagne après une demi-heure, ont réussi à égaliser 3-3 à la fin du temps réglementaire mais se sont fait surprendre par un doublé de Sergio Camello en prolongation.
S’ils visaient ouvertement l’or, les Tricolores décrochent la troisième médaille du football français aux Jeux olympiques après l’argent de 1900 – quand les Jeux ne comptaient que 24 nations – et le titre de 1984.
Opposés au Japon pour le match de la troisième place de l’épreuve par équipes de tennis de table, les pongistes tricolores ont décroché la médaille de bronze grâce à une prestation remarquable de Félix Lebrun (3-2).
Le Montpelliérain de 17 ans a remporté ses deux simples dont celui décisif pour offrir la victoire à son équipe. Cinq jours après sa troisième place en simple, il repart des Jeux de Paris avec deux médailles au compteur, la dernière partagée avec son frère Alexis et Simon Gauzy.
Magda Wiet-Hénin, championne du monde en titre de taekwondo dans la catégorie des moins de 67 kg, a été éliminée dès son entrée en lice en huitièmes de finale par l’Américaine Kristina Teachout.
En athlétisme, les relais 4×100 m tricolores, qualifiés pour les finales, n’ont pas réussi à gravir le podium, et la France n’a toujours glané aucune médaille au Stade de France.
(Vincent Daheron, édité par Jean-Stéphane Brosse)