La Côte d’Ivoire limoge le sélectionneur français Jean-Louis Gasset
La Côte d’Ivoire a limogé le sélectionneur français Jean-Louis Gasset en raison de la mauvaise performance des Eléphants au premier tour de la Coupe d’Afrique des nations 2024.
Le sélectionneur des Eléphants de Côte d’Ivoire, Jean-Louis Gasset, a été démis de ses fonctions au lendemain de la lourde défaite de sélection ivoirienne face à la Guinée équatoriale (0-4) en match comptant pour la 3e journée de la phase des poules de la 34e édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football que la Côte d’Ivoire organise jusqu’au 11 février.
Un communiqué de la Fédération ivoirienne de football (FIF) publié mercredi informe qu' »il est mis fin aux contrats du sélectionneur Jean-Louis Gasset et de son adjoint Ghislain Printant pour résultats insuffisants conformément au contrat qui les liait à la FIF ».
Le limogeage des deux techniciens français intervient après la défaite de la Côte d’Ivoire face à la Guinée équatoriale que les Ivoiriens ont vécu comme une humiliation, selon des observateurs locaux.
Après sa victoire 2-0 face à la Guinée-Bissau en match d’ouverture, la Côte d’Ivoire a été battue 1-0 par le Nigeria, avant de sombrer devant la Guinée équatoriale.
Classée 3e dans le groupe A, derrière la Guinée équatoriale et le Nigeria, la Côte d’Ivoire n’est pas encore éliminée, mais ne peut plus que compter sur les résultats des matches de la dernière journée des groupes E et F pour espérer être repêchée parmi les meilleurs troisièmes de groupe pour les huitièmes de finale.
Elle peut se qualifier en cas de victoire du Mali contre la Namibie et d’une victoire de l’Afrique du Sud face à la Tunisie ou d’un nul entre les deux pays ou encore d’une victoire du Maroc contre la Zambie.
A rappeler que Jean-Louis Gasset avait été nommé sélectionneur de la Côte d’Ivoire le 20 mai 2022 en prélude à la CAN 2023. Son contrat pourrait être renouvelé si la Côte d’Ivoire atteignait le dernier carré de la CAN 2023.
Vous aimez nos publications ? Engagez-vous !
Les systèmes politiques et médiatiques ont besoin que s'exercent des contre-pouvoirs. Une majorité de journaux, télévisions et radios appartiennent à quelques milliardaires ou à des multinationales très puissantes souhaitant faire du profit, privant les citoyens d’un droit fondamental : avoir accès à une information libre de tout conflit d’intérêt.Le Journal Chrétien, service de presse en ligne bénéficiant d’un agrément de la Commission paritaire des publications et agences de presse du Ministère de la Culture, assure un contre-pouvoir à l’ensemble des acteurs sociaux, en vérifiant les discours officiels, en décryptant l'actualité, en révélant des informations de première importance ou en portant le témoignage des dominés.
La qualité de notre travail est reconnu par les médias séculiers. Dernièrement, le président du Journal Chrétien a accordé une longue interview à Sud Ouest, le deuxième quotidien régional français avec une diffusion totale de 219 000 exemplaires.
ENGAGEZ VOUS !
Quand les évangéliques sont attaqués, calomniés ou traités avec mépris par les médias traditionnels, un silence de notre part ne serait pas chrétien. Une telle attitude montrerait un renoncement suspect à se faire respecter et à exiger des médias mondains un tel respect.Lorsque les pasteurs et les églises évangéliques sont attaqués, le critère de la solidarité chrétienne doit jouer. Comment nous dire membres du Corps du Christ si nous restons indifférents à la persécution de certains d’entre nous, souvent réduits au silence et incapables de faire valoir leurs droits ou, tout simplement, de se faire respecter comme chrétiens ou communautés évangéliques ?
En s'appuyant sur notre plateforme de médias, l’action sur l’opinion publique est évidemment essentielle. Faire savoir est la condition de toute action, car rien n’est pire que le silence. D’où l’importance de l’action en direction des médias, des institutions et des populations.
Evidemment, ici comme ailleurs, la réticence de la part des chrétiens à agir comme des groupes de pression constitue une difficulté majeure. Mais, là encore, ne faudrait-il pas s’interroger sur notre dispersion et nos réticences à agir comme lobby, quand il s’agit de défenses des libertés et droits humains fondamentaux ?