COVID-19: Le G7 s’accorde sur une réponse mondiale coordonnée
Les dirigeants du G7 ont convenu de prendre des mesures essentielles pour assurer une réponse mondiale coordonnée au COVID-19 et favoriser une reprise robuste de l’économie, a annoncé jeudi la Maison Blanche au terme de leur réunion par visioconférence consacrée aux efforts de lutte contre la pandémie.
Les dirigeants du bloc ont discuté des efforts destinés à mettre en commun leurs recherches et leurs talents « en partageant toutes les données épidémiologiques pertinentes et les nouvelles meilleures pratiques, en rendant les données et les résultats de recherche accessibles au public et en donnant accès aux ressources de supercalcul les plus puissantes au monde », a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Les discussions ont également abordé le rôle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pendant la pandémie. « Une grande partie de la conversation a porté sur le manque de transparence et la mauvaise gestion chronique de la pandémie par l’OMS », selon la Maison Blanche.
Toutefois, les propos de la chancelière allemande Angela Merkel lors de cette visioconférence ont révélé qu’aucun consensus n’avait été atteint à cet égard parmi les dirigeants du G7.
Dans une déclaration publiée par son gouvernement, Mme Merkel a déclaré aux participants que la crise ne pouvait être abordée qu’avec une réponse internationale forte et coordonnée, exprimant son plein soutien à l’OMS et à des groupes internationaux similaires.
Le président américain Donald Trump a fait l’objet d’intenses critiques dans son pays et à l’étranger pour sa décision de suspendre le financement de l’OMS par son pays à l’heure où la pandémie du COVID-19 sévit dans le monde.
Aux Etats-Unis, la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a qualifié mercredi cette décision d' »insensée », alors que l’OMS mène la lutte mondiale contre le COVID-19.
Le nombre de cas de COVID-19 aux Etats-Unis a dépassé les 660.000 en date de jeudi soir, avec plus de 32.000 décès signalés, selon le Centre pour la science et l’ingénierie des systèmes (CSSE) de l’Université Johns Hopkins.
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