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Effet indésirables : pourquoi certains médicaments sont contre-indiqués pendant la grossesse ou l’allaitement ?

Lors de La prise de certains médicaments à dose thérapeutique, il y’a les effets recherchés et parfois des effets indésirables. Ils sont liés soit au médicament lui-même, soit au patient ou à son alimentation. Ces effets peuvent être insupportables et nécessiter l’arrêt du traitement.

Pendant la grossesse certains médicaments franchissent la barrière placentaire. Ce qui expose le fœtus à un risque d’intoxication. De même, il existe des médicaments qui inhibent la sécrétion lactée, et d’autres qui passent dans le lait constituant un risque d’intoxication pour le bébé. C’est la raison pour laquelle l’excédant de médicaments et l’automédication sont contre-indiqués chez les femmes en période de grossesse et d’allaitement.

En effet pendant le 1er trimestre de la grossesse, les effets tératogènes sont beaucoup plus observés. Il y a certains médicaments qui augmentent le risque des malformations chez le fœtus. Après le premier trimestre de la grossesse, la prise de certains médicaments génèrent des effets fœtaux-toxique. Ceux-ci perturbent le plus souvent croissance, de la maturation histologique ou fonctionnelle des organes en place.

Il très déconseillé de prendre Certains médicaments, tels les antibiotiques de la famille des cyclines à partir du 4e mois de la grossesse car ils peuvent modifier la coloration des dents de laits ; les tétracyclines qui peuvent entrainer des complications hépatiques grave voir même inhiber la croissance du fœtus. Certains anti-inflammatoires non stéroïdiens sont également contre-indiqués. Il existe plusieurs autres médicaments contre-indiqués et l’automédication expose beaucoup plus les femmes enceintes et leurs fœtus. En raison de ce que la prise est non contrôlée et du fait qu’elles n’ont pas une maîtrise sur ces risques.

Ainsi, quelque soit le malaise ressenti, aussi petit qu’il soit, il est formellement déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes de pratiquer l’automédication. Il est donc toujours nécessaire de se rendre dans une structure hospitalière pour une consultation médicale fiable en cas de malaise. De plus, il demeure important de respecter les posologies prescrites par le médecin ; d’aviser à temps en cas de gène suite à la prise du médicament prescrit ; de veiller sur son hygiène corporelle et alimentaire pendant et après la grossesse afin de se protéger ainsi que fœtus

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